Vilfredo Pareto
Vilfredo Pareto, né le 15 juillet 1848 à Paris et mort le 19 août 1923 à Céligny (Suisse), est un sociologue et économiste italien.
Adversaire du socialisme et du bourgeoisisme, il refusa toute interprétation réductionniste des faits sociaux. Proche à certains égards de Georges Sorel, il en appliqua la philosophie à la théorie des élites et critiqua toutes les formes de croyance.
Critique virulent de la démocratie et du socialisme, il est, avec un autre sociologue italien, Gaetano Mosca, le fondateur de la théorie politique de l'élitisme.
Sommaire
Biographie
Vilfredo Pareto naît à Paris en 1848 d'un père, Raphaël Pareto, exilé d'Italie et d'une mère française.
Diplômé de l'École polytechnique de Turin en 1870, il travaille d'abord comme ingénieur puis comme directeur des chemins de fer italiens. En 1886 maître de conférences à l'université de Florence. Il combat le virage socialiste et protectionniste pris en 1887 par l'Italie, unifiée depuis 1870.
En 1893 ses écrits lui valent de succéder à Walras à la chaire d'économie politique de l'université de Lausanne qu'il illustrera jusqu'à la fin de sa vie. En 1898, il héberge des socialistes italiens fuyant la répression.
En 1923, avant de mourir, il conseille au gouvernement de Rome une politique de libre entreprise. Celle-ci assurera les succès économiques du régime jusqu'à son changement d'orientation du milieu des années 1930.
Le sociologue de l'élitisme
Dérivations et résidus
Pareto définit la sociologie comme une science logico-expérimentale qui permet de distinguer le logique du non logique. Il divise ainsi l'activité humaine entre la conduite logique , motivée par le raisonnement, et la conduite non logique, motivée par le sentiment. Si la conduite logique guide la science, y compris l'économie, la plupart des actions sociales sont non logiques. Ce sont !es forces psychologiques qui se trouvent à la base du comportement humain.
Toutefois, les hommes ont tendance à croire que leur action résulte, non de sentiments ou d'impulsions, mais d'une démarche rationnelle, fondée sur une théorie. Or, selon Pareto, il convient de distinguer dans cette théorie deux éléments. Le premier, variable selon le lieu, fait de justifications et d'explications, est appelé une dérivation. II s'agit du discours utilisé par les individus et les groupes pour justifier leurs actions en leur donnant une logique qu'elles n'ont pas nécessairement. En bref, du camouflage psychologique. L'autre, l'élément constant dont il est dérivé, correspond aux pulsions psychologiques profondes et est appelé le résidu. C'est le facteur stable du comportement, ce qui reste lorsqu'on écarte le camouflage psychologique. Par conséquent, la conduite humaine doit être expliquée par les résidus sous -jacents, et non par les dérivations évidentes telles que la philosophie politique , la métaphysique ou la théologie.
Pareto répertorie six classes de résidus, mais l'on peut les répartir schématiquement en deux grands types de comportements sociaux. Le premier est un comportement d'innovation , l'instinct de combinaison, un esprit de création, de développement et de renouvellement. Le second est un comportement de conservation , la persistance des agrégats, un esprit d'ordre et de stabilité. On retrouve les deux chez tous les acteurs sociaux, y compris les élites.
La circulation des élites
Selon Pareto, toute société est hiérarchisée avec une minorité de dominants et une majorité de dominés. En effet, la population se compose de deux couches, l'une inférieure, regroupant tous ceux qui pataugent dans la médiocrité, et l'autre supérieure, l'élite, comprenant tous ceux qui réussissent, elle-même divisée entre une élite gouvernementale et une non-gouvernementale.
Pareto définit l'élite, en dehors de toute considération morale, en attribuant à ses membres de très bonnes notes sur dix de la manière suivante:
A l'habile escroc qui trompe les gens et sait échapper aux peines du Code Pénal, nous attribuerons 8, 9, ou 1 O. Au petit escroc qui dérobe un service de table à son traiteur et se fait prendre par les gendarmes, nous donnerons l .
Ou encore: A la femme politique ( ... ) qui a su capter les bonnes grâces d'un homme puissant et qui joue un rôle dans le gouvernement( ... ) nous donnerons une note telle que 8 ou 9, A la gourgandine qui ne fait que satisfaire les sens de ces hommes et n'a aucune action sur la chose publique, nous donnerons O.
L'élite gouvernementale s'impose soit par la ruse, soit par la force, par un mélange de manipulation et de coercition. Gouverner exige donc des qualités variées - il faut être souple et rusé, mais aussi prêt à utiliser la violence -, qui correspondent à deux types psychologiques opposés, les renards et les lions. Les renards, qui excellent dans les manœuvres politiciennes, sont incapables d'exercer la violence lorsque c'est nécessaire, tandis que les lions, qui ne répugnent pas à l'emploi de la force, ont tendance à devenir conservateurs et à s'éloigner du peuple.
Le changement politique intervient quand une élite en remplace une autre. Selon la formule de Pareto l'Histoire est un cimetière d'aristocraties, qui offre un modèle constant de circulation entre ces deux types d'élite. Pour lui !'Histoire se résume à la succession de minorités privilégiées qui se forment, luttent, arrivent au pouvoir, en profitent et déclinent pour être remplacées par d'autres. II est convaincu que la décadence menace toute société qui ne pratique pas la circulation des élites. Car l'élite comprend des individus qui ne le méritent pas et la couche inférieure des éléments dignes d'en faire partie.
Si l'élite gouvernementale est assez forte, son intérêt sera d'intégrer, par la mobilité sociale, les membres les plus brillants de la couche dominée - ainsi que l'a pratiqué, durant des siècles, l'establishment britannique. Pareto estime que la masse de la population n'exerce aucun contrôle, même dans une démocratie, et que l'idée d'un gouvernement du peuple est un mythe qui dissimule la domination par des chefs de partis manipulant le système représentatif. Quant au socialisme, qui nie l'inégalité, ce n'est qu'une pseudo-science.
Les Religions laïques du monde moderne
Toujours dans son Traité de sociologie générale, Pareto fustige les mythes de ce qu'il appelle "les religions laïques du monde moderne", venus remplacer vérités et valeurs d'antan : Humanité, Démocratie, Egalité , Progrès, Liberté, Volonté du peuple, etc ... II considère que toute égalité est une absurdité et toute idéologie égalitaire un hypocrite instrument subversif au service des "intérêts directs de personnes qui veulent se soustraire à des inégalités qui leur sont contraires , et en instituer d'autres en leur faveur". De même devient-il furieux lorsqu'il entend parler de "volonté populaire", car, en fait, avec ou sans suffrage universel, "c'est toujours un oligarchie qui gouverne, et qui sait donner l'expression qu'elle désire à la volonté populaire". Quant à la "liberté de pensée" de nos "temps évolués", elle est conçue de telle manière qu'on la revendique pour soi et qu'on la refuse aux adversaires "réactionnaires".
Pareto est un iconoclaste aussi en matière de sexualité. En 1911, il écrit un petit livre, d'abord paru en français, Le mythe vertuiste et la littérature immorale, dans lequel il stigmatise le puritanisme sexophobe bourgeois. II insiste , par exemple, sur le caractère "honnête" de la prostitution de la femme, laquelle fait commerce de ce qui lui appartient, son corps, par opposition à la prostitution condamnable de tant de politiciens, qui commercent avec les biens collectifs.
Cet anticonformisme se manifeste également sur le plan politique. Pareto a très vite abandonné ses lubies de jeunesse libérales et pacifistes. Écœuré par la Première Guerre Mondiale et le comportement peu ragoûtant des démocraties, particulièrement en Italie, il soutient l'action restauratrice de Benito Mussolini. En récompense, il est nommé, en 1923, sénateur du royaume d'Italie, mais ne peut accepter, car il a, entre temps, renoncé à la nationalité italienne pour celle du micro-Etat libre de Fiume. La pensée de Pareto est à redécouvrir , ne serait-ce que pour se convaincre que la sociologie ne se limite pas à la bouillie misérabiliste et gauchisante du très médiatique feu Pierre Bourdieu[1].
Citations
- « Toute élite qui n'est pas prête à livrer bataille, pour défendre ses positions, est en pleine décadence, il ne lui reste plus qu'à laisser sa place à une autre élite ayant les qualités viriles qui lui manquent. C'est pure rêverie, si elle s'imagine que les principes humanitaires qu'elle a proclamés lui seront appliqués: les vainqueurs feront résonner à ses oreilles l'implacable Vae Victis. Le couperet de la guillotine s'aiguisait dans l'ombre quand, à la fin du siècle dernier (ndlr : fin XVIIIe donc), les classes dirigeantes françaises s'appliquaient à développer leur « sensibilité ». Cette société oisive et frivole, qui vivait en parasite dans le pays, parlait, dans ses soupers élégants, de délivrer le monde de « la superstition et d'écraser l'infâme », sans se douter qu'elle-même allait être écrasée. »
Textes à l'appui
Il y a 100 ans, mourait Vilfredo Pareto[2]
Vilfredo Pareto (1848 - 1923) est un classique de l'économie politique et de la sociologie. Comme c'est souvent le cas avec les classiques, Pareto est souvent mentionné, mais rarement lu.
md31174579151.jpgLes manuels d'histoire de la sociologie traitent de lui de manière obligatoire, mais la traduction française de son œuvre principale, Trattato di sociologia generale, qui se limitait de toute façon aux chapitres les plus importants, est épuisée depuis des décennies. Seul un recueil d'articles sélectionnés est actuellement disponible en Allemagne. Les efforts méritoires de Gottfried Eisermann dans les années 1960 pour faire connaître Pareto dans notre pays sont tombés à l'eau.
Pareto est encore populaire aujourd'hui grâce à l'une de ses nombreuses contributions à la théorie de l'utilité - la règle dite 80 : 20 (principe de Pareto). Exemple : si vous nettoyez une pièce encombrée de déchets, vous avez déjà mis de l'ordre à 80% avec 20% de l'effort total ; pour ranger les objets restants de manière judicieuse, un effort toujours plus important est nécessaire.
Les hypothèses de base de la théorie de l'utilité ont également influencé les travaux sociologiques ultérieurs de Pareto. Pour analyser les actions des personnes, il ne faut pas partir d'un homo oeconomicus construit de manière abstraite, qui s'oriente sur le marché uniquement en fonction du rapport entre l'offre et la demande, mais il faut observer les actions qui ont réellement lieu et essayer de comprendre leurs motivations. La notion d'utilité fait elle-même le lien entre l'économie et la sociologie ; il ne s'agit pas d'une donnée rationnelle, car l'"utilité" dépend du contexte.
Si l'on se penche sur le portrait intellectuel de Pareto, les zones d'ombre et de lumière apparaissent dans un contraste saisissant. Il a été ingénieur pendant vingt ans et a donc été particulièrement influencé par l'esprit positiviste de son époque. Les sciences naturelles étaient son modèle, c'est pourquoi il s'est toujours efforcé d'appliquer leur modèle de connaissance aux sciences sociales.
En tant que positiviste, il pensait qu'il était possible de découvrir une vérité objective en se débarrassant des préjugés de la doctrine dominante et de ses propres préjugés. Mais c'est précisément cette croyance qui l'a conduit au-delà du positivisme, puisqu'elle l'a amené à pousser la recherche de la vérité jusqu'à ses ultimes conséquences. Il a en effet découvert que l'action humaine était bien moins déterminée par la raison que ne le prétendait la science.
Chaque ligne de son œuvre témoigne de son étonnement et parfois de son indignation face au fait que le monde n'est pas aussi raisonnable qu'il devrait l'être. Cette prise de conscience a eu deux conséquences : d'une part, elle lui a permis d'acquérir une vision du monde sans illusion et sans jugement de valeur, ce qui lui a permis de mettre à nu, par l'interprétation, les motivations qui sous-tendent les phénomènes sociaux. Cet art de l'interprétation fait la force de Pareto.
D'autre part, il a tenté d'extraire du chaos varié des actions non rationnelles un ordre analysable rationnellement sous la forme d'un système. Avec cette approche, il est cependant retombé derrière le positivisme, dans une taxinomie baroque avec des classifications confuses et des déductions abstruses.
Ce n'est pas grâce à sa théorie, mais en dépit de celle-ci, que Pareto est parvenu à ses conclusions révolutionnaires sur le fonctionnement des processus sociaux. Le système sociologique de Pareto est en quelque sorte la dérivation de ses connaissances intuitives. La faiblesse de la construction du système de Pareto apparaît déjà dans l'un de ses éléments centraux : la définition des résidus. Même les interprètes les plus bienveillants ont reproché à cette définition son manque de cohérence. Les résidus sont des complexes idéaux de motivation, souvent appelés simplement instincts par Pareto. Pareto interprète l'action sociale en la ramenant aux résidus qui la sous-tendent. Seuls les deux premiers résidus d'un groupe de six ont acquis une notoriété générale.
Le contenu de "l'instinct de combinaison" est relativement précis : il comprend une attitude progressive, la recherche de la nouveauté, l'audace, l'utilisation de la ruse et de la persuasion dans les relations humaines et de l'imagination dans le travail créatif. Cette disposition mentale s'incarne dans les idéaux-types du spéculateur en économie et du renard en politique. Ce résidu passe au premier plan dans les époques hautement civilisées. Lorsque ce type est parvenu au leadership, il règne par consensus.
La deuxième catégorie s'intitule "Persistance des agrégats". Elle est incarnée par les types du rentier et du lion. Le retraité vit de ses économies, de ses avantages, de ses privilèges ou d'autres revenus fixes et est donc réticent au changement ; il est passif et anxieux. Le Lion tire sa confiance en lui de sa force et de son agressivité ; il domine par la violence.
Cependant, les dispositions mentales des deux types s'excluent mutuellement : On ne peut pas être à la fois passif et agressif, prendre le pouvoir par la force et avoir peur du changement.
Malgré ce manque de précision définitionnelle, le génie de Pareto apparaît toutefois ici, car en distinguant ces deux types, il a anticipé presque mot pour mot celui de Daniel Goodhart entre les "somewheres" et les "anywheres" : "Dans la première catégorie se trouvent les "enracinés", dans la seconde les "déracinés"".
Pareto a acquis une importance durable grâce à sa théorie des élites, dont l'originalité réside avant tout dans l'analyse de la circulation des élites. L'idée de la circulation des élites découle nécessairement des hypothèses théoriques de base de Pareto :
- 1) ce sont principalement les instincts qui déterminent l'action ;
- 2) chaque grand groupe délimitable, y compris la classe dirigeante, est composé de personnes ayant la même constitution instinctive ;
- 3) comme la constitution instinctive et donc le type d'homme de la classe dominante ne peuvent pas changer, la classe dominante ne peut changer que si le type d'homme jusqu'ici dominant est remplacé par un autre.
Au début de chaque nouveau cycle, il y a la violence. Un groupe d'individus agressifs (résidu de la "persistance des agrégats") s'est emparé du pouvoir par la conquête ou la révolution. La domination ne peut toutefois pas être maintenue durablement par l'utilisation de la violence nue. Elle doit être légitimée et se fonder sur le consentement de ceux qui sont soumis à la domination. Dans le même temps, l'économie commence à prospérer grâce à la paix civile et à la sécurité juridique.
Ces deux évolutions, l'établissement d'un consensus et la croissance économique, favorisent l'émergence d'un type d'homme caractérisé non pas par l'agressivité mais par l'intelligence (résidu de "l'instinct des combinaisons"). Les productions de discours et de biens gagnent en importance, et avec elles le type d'homme qui exerce ces activités. Celui-ci accède donc à la classe supérieure, mais est encore exclu de la domination politique proprement dite. Il existe donc dans la classe supérieure deux fractions distinctes : l'une dominante (les établis, qui règnent par l'épée) et l'autre dominée (les ascendants, dont le pouvoir repose sur leur force mentale ou leur richesse).
C'est maintenant qu'il faut décider si l'évolution future sera pacifique ou violente. Elle est pacifique lorsque certains membres de la faction dominante, particulièrement incompétents, quittent la société et que des membres de la faction dominée prennent la place laissée vacante par cooptation. La révolution survient lorsque la faction dominante se ferme complètement et, surtout, lorsqu'elle tente de maîtriser la situation par la carotte et le bâton.
Dans cette phase, la faction dominée se fait le porte-parole des couches dominées, inférieures. Elle utilise l'agressivité, la colère et la force numérique des classes inférieures comme instrument pour parvenir elle-même à la domination. Une fois cet objectif atteint, l'alliance est rompue et le Maure, qui a fait son devoir, est apaisé par quelques cadeaux et phrases. Les classes inférieures n'accèdent jamais au pouvoir en tant que telles, mais seulement la petite partie, l'élite, qui a déjà accédé à la classe supérieure.
La véritable lutte des classes ne se produit jamais que dans l'affrontement entre la fraction dominante et la fraction dominée au sein de la classe dirigeante.
Pareto a été courtisé par Mussolini dans la dernière année de sa vie, ce qui l'a exposé au soupçon de sympathie avec le fascisme. Mais : Pareto n'est ni de droite ni de gauche, mais un analyste de la société devenu cynique et incorruptible.
Il semble être de gauche parce qu'il dénonce impitoyablement les agissements des classes dirigeantes et leur exploitation du peuple.
Il semble être de droite parce qu'il méprise la faiblesse des décadents hypercivilisés qui reculent devant tout usage de la violence, et parce qu'il se moque de l'hypocrisie humaniste.
Publications
- Cours d'économie politique, Lausanne, F. Rouge, 1896–97 (2 volumes)
- Les systèmes socialistes. Cours professé à l'Université de Lausanne, Paris, V. Giard & E. Brière, « Bibliothèque Internationale d'Économie Politique », 1902-03 (2 volumes)
- Manuel d'économie politique. Traduit sur l'édition italienne par Alfred Bonnet (revue par l'auteur), Paris, V. Giard & E. Brière, 1909
- Le mythe vertuïste et la littérature immorale, Paris, Marcel Rivière & Cie, 1911
- Traité de sociologie générale : édition française par Pierre Boven revue par l'auteur, Lausanne - Paris, Librairie Payot & Cie, 1917-19 (2 volumes), 1818 p.
- Les Systèmes Socialistes. Deuxième édition par les soins de Georges-Henri Bousquet, Paris, Marcel Giard, 1926 (2 volumes)
- Lettres de Léon Walras et Vilfredo Pareto à Hermann Laurent 1898 - 1902, Paris, 1953
- Le Péril socialiste, éditions du Trident, Paris, 2008 (recueil d'articles préfacé par Georges Lane), 424 p.
Bibliographie
- « Vilfredo Pareto, anticonformiste et antidémocrate », in : Julius Evola, Explorations - Hommes et problèmes, Pardès, 1989, 312 p., p. 225-232.</ref>.
- Julien Freund, Pareto. La théorie de l’équilibre, Paris, Seghers, 1974.
- Jean-Pierre Blanchard (préf. Georges Feltin-Tracol), Vilfredo Pareto, génie et visionnaire, Paris, Dualpha, 2019, 156 p.
- Dossier : Pareto et la sociologie, Nouvelle École, N° 36, juin 1981 [comprend l'article d'Arnold Gehlen, « Vilfredo Pareto et sa "science nouvelle". Introduction à la théorie des actes non logiques », p. 21-41.]
Articles connexes
Notes et références
- ↑ Edouard Rix, « Vilfredo Pareto, le sociologue de l'élitisme », in: Réfléchir et agir, no 14, printemps 2003, p. 36-37.
- ↑ Titre original : « Vor 100 Jahren verstarb Vilfredo Pareto. Winfried Knörzer erinnert », in : Sezession, 29.8.2023.