Race

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La notion de race définit un groupe humain génétiquement apparenté. Elle peut être considérée en tant que réalité biologique ou comme une construction sociopolitique et sociojuridique.

Le fait racial

La notion de « race pure » n'est évidement pas sérieuse. C'est le fait racial qui importe. Une race peut parfaitement être le produit stabilisé de mélanges anciens. la génétique contemporaine, en complet porte-à-faux avec l'idéologie dominante, a bel et bien confirmé la division de l'humanité en groupes génétiques statistiques.

Les races ne se distinguent pas tant par des différences de phénotypes (couleur de la peau, chevelure, taille, etc.) que par des variations du génotype, qui touchent au tempérament, aux caractéristiques cérébro-mentales, mais aussi aux différences physiologiques et biologiques innées.

Se référant aux travaux d'Henri Valois, Pierre Vial explique:

« L'identité repose d'abord sur une réalité biologique, naturelle, étudiée par cette science que l'on appelle l'anthropologie physique.[...] Cette appartenance biologique conditionne beaucoup, de caractéristiques, à la fois sur le plan individuel et sur le plan collectif. L'homme de la rue, qui garde un vieux fond de bon sens malgré le bourrage de crâne que lui font subir les médias sait qu'il y a quelques différences entre un Sénégalais et un Auvergnat. Différence ne signifie pas supériorité ou infériorité » (in: Une Terre, un Peuple).

Précisons à ce propos que l'ethnodifférentialisme qu'évoque Pierre Vial est assez différent du concept assez ambigu d'ethnopluralisme. En effet, le premier concept renvoie à un refus de toute cohabitation au sein d'un meme espace, comme le refus de toute colonisation ou domination d'une race sur une autre, tandis que la notion d'ethnopluralisme peut connaitre une grave dérive : celle de la croyance entre la cohabitation « communautariste » de peuples différents sur un même territoire politique, ce qui n'a jamais réussi dans l'histoire et donne immanquablement lieu au racisme et aux conflits raciaux. La notion de race n'épuise pas celle d'ethnie. La race est en quelque sorte la composante biologique de l'ethnie[1].

Racisme et antiracisme

Pour des raisons strictement dogmatiques, la pensée unique nie l'existence même des races (avec le pseudo-argument que les diversités génétiques individuelles sont plus importantes que les différences entre groupes raciaux) et pourtant elle prétend juridiquement combattre le « racisme », aussi diabolisé que le libertinage du temps du puritanisme victorien. Comment peut-on condamner un sentiment qui porte sur un objet supposé inexistant ? Comment peut-il y avoir de « racisme », puisque les races sont supposées ne pas exister ?

L'antiracisme, viatique indispensable des bien-pensants est en réalité de la xénophilie (valorisation de l'étranger) et de la raciophobie. Obsédée et effrayée par le fait racial - qui s'impose comme un problème majeur du fait de la naissance de la société multiraciale et des conflits qu'elle provoque - l'idéologie occidentale succombe à la raciophobie et, contradictoirement, à la raciomanie. Se déclarer « antiraciste » et dénoncer le racisme est aujourd'hui chez les idéologies, les artistes, les politiciens ou les journalistes un passeport de bienséance indispensable, à gauche comme à droite, aussi nécessaire que de se proclamer « bon musulman » en Arabie Saoudite.

On en arrive au point absurde où, en Europe, quiconque affirme l'« inégalité des races » ou la « supériorité de la race blanche » (opinions vraies ou fausses, peu importe) est accusé de « haine raciale », même sil manifeste un respect pour les autres races. Pis : être « raciste », ce n'est plus inférioriser l'« autre », ni le menacer, mais défendre son propre droit à l'identité, se protéger d'une invasion. C'est bien le signe qu'il existe chez les élites européens une grave problème psychanalytique sur le sujet de la race, de même nature que la question du sexe au XIXe siècle chez les puritains. Les antiracistes sont des obsédés de la race qui refoulent leurs pulsions morbides, leurs obsessions dissimulées. Ils considèrent la « race » comme une sorte de divinité coupable, à laquelle ils croient et qu'ils tentent d'exorciser. En ce sens, l'antiracisme est un exorcisme idéologique.

En revanche, pour des Africains ou des Asiatiques, parler de race et de fait racial semble parfaitement naturel. D'ailleurs, on l'admet : des Arabes et des Africains ont publié, en France et en Grande Bretagne, des articles et des ouvrages affirmant leur supériorité intrinsèque sur les « Blancs »; des leaders musulmans ont affirmé qu'il fallait « éradiquer de la planète tous les Blancs ». Ils n'ont jamais été poursuivis par les autorités judiciaires. on pourrait en déduite que lesdites autorités considèrent que le racisme antiblanc n'est pas dangereux, puisque, implicitement, le Blanc se défendra et dominera toujours. C'est donc là l'expression inavouée d'un mépris des autres races, comme si le « Blanc » était éternellement supérieur et les autres des handicapés congénitaux, des êtres à protéger. Cela démonte bien le refoulé raciste de l'idéologie dominante antiraciste.

La « haine raciale », sentiment évidemment absurde puisqu'on reproche à d'autres hommes non pas leurs actes mais leur être, est provoquées par l'impératif même de la société multiraciale. Toute société multiraciale est multiraciste. Aucune n'a jamais fonctionné dans l'harmonie. Toutes donnent lieu à des discriminations, quelque effort que fassent les législations.

L'idéologie dominante, sur ce sujet de a race, s'empêtre dans des contradictions insurmontables : discrimination positive, politique des quotas pour les Noirs, etc. On avalise l'existence des races sans leur reconnaitre de légitimité. L'antiracisme affiché par les militants de quotas raciaux est l'expression même du racisme le plus achevé, de la racialisation de la société.

On passe sous silence le racisme anti-blanc, jamais réprimé, alors qu'il est omniprésent. Le racisme est une voie à sens unique. Seuls les Européens de souche seraient intrinsèquement coupables de ce péché originel.

A la fin du XIXe siècle, le néologisme « racisme » n'avait pas la même signification que son actuelle connotation péjorative. Il désignait une doctrine qui expliquait les différences entre peuples et civilisations par leur composition raciale, nous dirions aujourd'hui « génétiques », censées déterminer leur caractère global. Et, ce que tout le monde ignore, les premiers « racistes » autoproclamés comme tels, comme les Dr Jules Soury, René Martial ou le Pr Jeremy Salmon, étaient ... partisans du métissage ! En effet, pour les racistes originels, les croisement s génétiques étaient la meilleure manière d'obtenir une « race d'aptitude », là où les « races pures » échouaient du fait de leur trop grande spécialisation. Comme les chevaux ou les chiens, pensait-on, l'espèce humaine devrait pratiquer le croisement sélectif, afin d'obtenir le meilleur produit, mais rejeter absolument l'endogamie. A l'origine, le racisme est une doctrine du métissage. Mais désormais, employé à toutes les sauces, le mot « racisme », par son extraordinaire connotation affective et émotionnelle, ne veut plus dire grand-chose.

On accuse de « racisme » en Occident, selon une position extravagante, quiconque veut défendre l'identité de son peuple contre les colonisateurs allogènes ; et l'on suppose, de manière quais magique, que seuls les Européens produisent des théories racistes. En oubliant - par exemple - les innombrables propos racistes et suprématistes antiblancs tenus par les disciples africains du sociologue sénégalais Amoulaye N'Diop, que les dirigeants actuels de la nouvelle Afrique du Sud ou du Zimbabwe ne cessent de répandre, sans que nul ne s'en offusque.

On confond aujourd'hui racisme avec xénophobie ou altérophobie. Il ne s'agit pas d'être raciste ou antiraciste mais d'affirmer l'importance du fait racial dans la composition de l'humanité. Les différences biologiques de cette dernière sont une richesse ; en revanche, elles deviennent une source de conflit dès que les cloisonnements n'existent plus.

Tout peuple qui ne possède pas une homogénéité biologique minimale est menacé à terme de décomposition intérieure. Le fait racial, évidemment , n'est pas tout. Mais il est là. Le négliger aboutira automatiquement à des catastrophes.

Faire de la notion de « race » un tabou, un interdit quasi religieux, la néantiser, c'est, par effet de réversion, en faire un « secret de famille », c'est-à-dire une bombe à retardement. La suite est facile à comprendre[2]. .

Expression

  • Bon sang ne saurait mentir.

Articles connexes

Bibliographie

  • « La fabrique des races », in L’Histoire de mars 2022, p. 28 à 89.

Notes et références

  1. Guillaume Faye, Pourquoi nous combattons : Manifeste de la Résistance européenne, Paris, L'AEncre, 2002, 292 p., p. 251-255.
  2. ibidem