Gianantonio Valli

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Gianantonio Valli, né en 1949 et mort par suicide le 23 juillet 2015, était un médecin, écrivain, essayiste et militant national-révolutionnaire italien.

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Biographie

Gianantonio Valli naît en 1949 à Milan dans une famille origi­naire de la Valteline (Valtellina).

Médecin généraliste, il exerce sa profession durant quarante ans dans le bourg de Cuveglio (3 500 habitants environ), près de la ville de Varese, où, praticien particulièrement dévoué et compétent, il est très connu et apprécié dans sa région. En juillet 2013, il fait l'objet d'articles diffamatoires dans la grande presse italienne, notamment dans le deuxième quotidien national par ordre d'importance, La Repubblica, qui affirme que sa salle d'attente serait un centre de propagande politique, décoré de bustes de Hitler et Mussolini. Valli intente un procès contre La Repubblica. La campagne de haine provoque des réactions de solidarité de la part des patients : une pétition de soutien recueillit 250 signatures en deux jours, le cap des 500 signatures étant franchi au bout d'une semaine.

Valli n'a jamais appartenu à un groupe ou mouvement politique, estimant que le combat essentiel ne passait plus par la politique communément entendue mais par un travail d'information, d'une part, de réflexion et d'approfondis­sement doctrinal, d'autre part. Philosophiquement, Valli était un païen très marqué par l'œuvre de Nietzsche. Politiquement, il se réclamait volontiers de l'école réaliste italienne inaugurée, par Machiavel et Giambattista Vico. Economiquement, il se définissait comme un « socialiste national », dans la continuité idéale de la tendance la plus anticapitaliste et antilibérale de la République sociale italienne. Il s'est toujours placé dans la perspective d'un combat à long terme. Mais son insistance sur la gravité extrême des migrations de masse prouve qu'il savait hiérarchiser les priorités. Ainsi, il ne s'est jamais laissé séduire par les sirènes du philo-islamisme ou d'une forme quelconque de tiers-mondisme, car pour lui la priorité absolue devait être et rester la perpétuation du patrimoine géné­tique des peuples européens[1].

Valli maîtrisait parfaitement l'allemand, le français et l'anglais.

Père de deux fils mais très affecté par la mort de son épouse Mina, il fait après quelques années le choix du suicide. Ses obsèques ont lieu le 27 juillet 2015. Son cercueil est recouvert d'un drap noir frappé en son centre d'une croix celtique argentée. A l'annonce trois fois répétée « camerata Gianantonio Valli », l'assistance répond en chœur « Presente ! » à trois reprises chaque cri étant accompagné du salut romain[2].

Outre ses propres ouvrages, Gianantonio Valli a collaboré à deux revues importantes de la Droite radicale italienne, L'Uomo libero et Orion.

Un regard radical sur les origines du mondialisme

La distinction fondamentale dont Valli fait la base même de tout son discours, c'est l'opposition irréductible entre la vision judéo-chrétienne (judéo-christiano-islamique sur certains points) du monde et la vision indo-européenne du monde. Après avoir rappelé que le judaïsme oppose le monde à venir à ce monde, et que l'islam oppose la << maison de la soumission » (dar al-Islam) - ce monde idéalement soumis tout entier à la loi coranique - à notre monde sourd au message de Dieu et de son Envoyé, par conséquent soumis à l'ignorance Uahiliyya) et appelé « maison de la guerre » (dar al-Harb), Valli dégage les oppositions suivantes:

Le divin personnel versus le sacré impersonnel, le monothéisme versus le polythéisme, la création et la frac­ture entre le Créateur et ses créatures versus l'évolution­ continuité des états multiples de l'Être; la conception d'un temps linéaire de l'histoire versus la conception d'un temps sphérique (dans la conscience personnelle, les trois dimen­sions du « temps de l'histoire » - actualité, mémoire du passé et projet d'avenir - sont toujours données ensemble et maintenant); la donation de sens par une révélation divine versus l'homme libre de faire tourner la sphère et d'imprimer à l'histoire le sens qu'il veut lui donner; l'avenir comme temps fondateur et doué d'un surplus de valeur versus le passé comme temps fondateur et doué d'un sur­ plus de valeur; le matérialisme, l'idéalisme et le dualisme versus le réalisme métaphysique et l'unité psychophy­sique du vivant, dont la race est précisément un emblème; la nature comme objet inerte versus la nature comme sujet autopoïétique, capable de se renouveler perpétuellement; l'anthropocentrisme versus la conformité à l'Ordre cosmique ou Harmonie universelle; l'universalisme versus l'enracine­ment; le prosélytisme à l'égard d'autrui versus soit le respect d'autrui, soit l'indifférence envers autrui, mais jamais le désir de le rendre semblable à soi-même; l'individualisme versus la cohésion organique; l'égalitarisme versus la hié­rarchie; le panmoralisme versus la vertu comme discipline librement consentie et volontaire ; l'humanitarisme versus la force; le providentialisme versus le sens du tragique; enfin, la téléologie/eschatologie versus le destin.

Pour bien illustrer la distinction fondamentale, Valli nous rappelle ce qu'est le monde dans la tradition juive: « Produit historique imparfait, destiné à céder la place à un ordre de choses plus élevé à la Fin des Jours (Baakharit ha-Yamin), à savoir dans le Temps de la Fin (l'Et ha-Qetz du Livre de Vérité en Daniel Xl,40 et X,21), le monde, en effet, n'est pas pour le juif- ni, de conserve, pour le chrétien - éternel ou immuable dans le cadre de ses propres lois [ ...]. » Et Valli de faire alors appel à un auteur italien, un certain Luigi Zoja, qui écrit: L'homme, semblable en cela au Dieu créateur, doit accom­plir à son tour des efforts pour créer et pour assumer ses propres responsabilités. Dieu l'a tiré de la fange et l'a conduit près de Lui. L'histoire du fidèle judéo-chrétien est caractérisée par l'effort constant pour relégitimer cette prédilection. li doit se faire à son tour sujet créateur et modeler le monde: qui, telle la fange, devient l'objet de sa recréation perpétuelle.

Selon Valli, le croyant juif est étranger à toute forme de piété contemplative et cosmique, respectueuse du réel comme mystère et seulement désireuse de lever le voile pour découvrir ses lois cachées et s'y conformer. li y a bien un activisme juif, une frénésie juive devant le monde, une révolte contre un donné jugé toujours foncièrement insa­tisfaisant: les adorateurs de Yahvé se veulent les Weltver­besserer, les « améliorateurs du monde », les « correcteurs de l'univers », ce sont les Dochakei ha-Qetz, les « accélé­rateurs de la Fin » ou encore « sollicitateurs de la Fin », qui ont pour mission d'annoncer, de poursuivre, de forcer même l'avènement du Royaume.

L' « invasionnisme » migratoire: quatrième et der­nière phase d'une guerre totale contre l'Europe

Mais le propos premier d'Invasione n'est pas métaphysique, religieux ou philosophique, il est politique. « Cet essai entend retracer - écrit Valli - la genèse des positions pro-immigrationnistes - plus précisément: invasionnistes - qui modèlent le psychisme des gouvernants européens et d'une grande partie de leurs citoyens lobotomisés, mais aussi illustrer les conséquences sociétales catastrophiques qu'a eues et qu'aura encore plus l'"accueil" de dizaines de millions d'allogènes. » Pour Valli, l'histoire du xx" siècle se résume essentiellement à une guerre d'anéantissement en quatre phases menée contre le Vieux Continent:

« Si la première et la deuxième phases sont représentées par les deux guerres mondiales, conflits conventionnels armés dans l'ombre desquels nous vivons toujours, la troisième phase a été, est encore une guerre non conven­tionnelle, une guerre psychologique - menée en particu­lier à travers l'Imaginaire Holocaustique - se servant de la "rééducation des peuples" et d'un incessant lavage des cerveaux. La quatrième phase, enfin, l'invasion migratoire [ ... ] a réclamé - étant donné que le sentiment de culpabilité instillé à cause de la rébellion fasciste n'a pas suffi à anéantir les ennemis du Bien - l'importation de dizaines de millions d'allogènes, avec pour objectif pas même trop dissimulé de fomenter le chaos social et de miner les racines biologiques des peuples européens. Le tout avec la complicité, elle aussi pas vraiment dissi­mulée, des Eglises chrétiennes, poussées à cela par leur élan universaliste et leur désir de vengeance inavoué contre la désaffection croissante des Européens envers le christianisme, funeste et mortelle hérésie juive. »

« Pourquoi, demandons-nous, de tous les peuples les Euro­péens sont-ils précisément ceux qui réagissent si faible­ment aux signes de corruption toujours plus marqués de l'identité, à l'abolition de la Mémoire [...] ? Pourquoi ne se rendent-ils pas compte que le marasme dans lequel ils vivent depuis un demi-siècle n'est pas une "évolu­tion naturelle de la société", mais le fruit d'un projet de plus en plus visible? [...] Pourquoi ne savent-ils pas relier dans une séquence unique la Grande Guerre, la Seconde Guerre mondiale, la Rééducation et l'invasion qui submerge, implacable, leurs nations? Pourquoi, en dépit de toute l'intelligence dont ils ont fait preuve au cours des siècles, courent-ils - avec inconscience et avec joie, troupeau éreinté et obtus - vers la catastrophe du Monde Unipolaire? [...] Pourquoi ne voient-ils pas qu'ils sont les seuls, parmi les peuples, à souffrir de cette abo­mination qu'est le masochisme ethnique, l'indifférence consciente envers les ancêtres, la haine inconsciente envers les descendants? Pourquoi adoptent-ils la forme d'esprit, les mots d'ordre, les projets et jusqu'aux contra­dictions de ceux qui tirent les ficelles dans la pénombre, à commencer par les Frères Aînés ?»[3]

Valli entend nous convaincre de façon définitive que nous sommes plongés dans une guerre totale, même si nous n'en avons pas toujours conscience. À cet effet, il reprend, sous une forme légèrement différente, quelques­ unes des oppositions qu'il avait développées dans sa « dis­tinction fondamentale » :

« Nous ne sommes pas confrontés à une dispute scolastique, mais à une guerre civilisationnelle. C'est une guerre poli­tique, une guerre intellectuelle, une guerre morale, une guerre spirituelle, c'est une guerre totale que celle qui nous concerne. L'enjeu, dans son sens le plus profond, ce n'est pas le Pouvoir, mais la Mémoire et l'Ordre [...]. Le culturel et l'économique sont antithétiques. Le politique et la simple gestion sont antithétiques. Le sens du réel et le progrès sont antithétiques. L'amour des nôtres et l'amour du "prochain" sont antithétiques. Le respect de l'étranger et l'indifférence aux nôtres sont antithétiques. L'amour du Cosmos et l'exploitation du "créé" sont antithétiques. Le sacré et le trop-humain sont antithétiques. La raison et la Raison sont antithétiques. La Mémoire et l'utopie sont antithétiques. Le Sang et le Sol s'opposent au Monde Unipolaire.»[4]

Trois possibilités

Face à une situation aussi désespérée, Valli estime qu'il n'y a aujourd'hui que trois possibilités de poser des actes authentiquement politiques.

La première c'est l'entrisme dans l'un des partis du Système ou encore dans un parti né en dehors du Système mais qui, par glissements suc­cessifs, est devenu un élément du Système (cas du Front national en France). Valli estime qu'il s'agit là d'une impasse, pour deux motifs essentiellement: le Système étant « une Capoue d'où l'on ne revient jamais propre », comme disait Jean Thiriart, l'expérience a surabondamment prouvé que tous ceux qui ont choisi le chemin de l'entrisme se sont définitivement perdus et compromis; et parce que le fait d'emprunter ce chemin, c'est accepter de jouer le rôle, défini à l'avance par le Système, de la seule voix faussement discordante et le légitimer ainsi dans ses prétentions au respect de la « démocratie » et de la liberté d'opinion. Autrement dit, c'est jouer le rôle de soupape de sécurité du Système.

La deuxième possibilité envisagée par Valli est celle du terrorisme ciblé: frapper de manière exemplaire le Système à travers quelques-uns de ses représentants particulièrement typiques. Mais Valli estime, là encore à juste titre et, en tant qu'ltalien, avec derrière lui le souvenir des « années de plomb », que le jeu n'en vaut pas la chandelle, que le prix à payer serait beaucoup trop élevé en comparaison des possibles résul­tats atteignables.

Il ne reste donc plus, à ses yeux, que la troisième possibilité : la voie culturelle. Il écrit en effet que « [...] la conquête des intelli­gences et des âmes [... ] est donc, pour ceux qui se propo­sent de s'opposer radicalement au Système, le premier et le plus urgent des objectifs »[5].

Extraits

« Nous sommes aujourd'hui dans un désert, nous sommes au bord d'un désert qui doit être traversé. Cela n'a pas de sens de nier le désert, de se croire en terre accueillante, de rêver pouvoir contourner le désert ou d'espérer que le temps le changera en paradis. C'est un désert. Mais nous savons que le désert, dont nous n'apercevons pas aujourd'hui les limites, tôt ou tard prendra fin. [...] Nous savons qu'un temps viendra, qu'une façon viendra, de reconstruire une cité, de refonder une civilisation. Mais pas maintenant.

On ne construit pas dans le désert. Les conditions élémentaires font défaut, les matériaux, l'eau, le ravitaillement manquent, le vent te fouette le visage, le sable t'aveugle, les mirages te trompent, les pillards sévissent, les assassins s'activent, tes com­pagnons et toi-même êtes sujets à d'humaines faiblesses.

Dans le désert, on peut seulement continuer à avancer, sans espoir de construire. On peut seulement chercher un abri, quel qu'il soit, parce que la nuit tombe, pour reprendre la marche dans le matin incertain. Toujours vigilant, sur ses gardes. Remercions les Dieux pour ces rares oasis, pour ce filet d'eau. [...]

Dans le sac à dos, il y a ce que tu as pu sauver. Il y a ce en quoi tu crois. Ta vie. Qui doit être conduite par-delà le désert. D'autres hommes, d'autres générations, d'autres individus inconnus, des gens que tu ne verras jamais, pas même tes propres fils, viendront. L'histoire l'enseigne. Des âmes semblables à la tienne, segments sur une même droite, fidèles aux mêmes Dieux. Il en naîtra encore. Il y en a toujours eu. Ce qui est certain, c'est que l'Extrême Conflit fut une défaite totale. Totale pour la géné­ration qui l'a mené, pour les millions de morts, pour les millions de survivants qui se sont avilis, pour notre génération, pour celle qui viendra après nous. Des catastrophes suivront dans quel­ques décennies, puis quelques autres décennies ne connaîtront que l'anarchie et les ruines, avec l'écroulement de toute institution civile. Mais certains seront là: pour récupérer ton sac et l'ouvrir. »

Extrait d'Invasione, p. 23

« Les migrations de masse, subies avec une suprême inconscience et une effarante bêtise par ceux-là mêmes qui en sont les victimes, sont le cœur d'une stratégie de mort, et non les convulsions incompréhensibles d'un monde devenu fou. Elles ne sont pas un problème, fût-ce parmi les plus importants, de notre époque, elles sont, tout simplement, LE problème. Elles sont la Quatrième Etape [après les deux premières guerres mondiales et la troisième guerre psychologique de rééducation des peuples européens et d'incessant lavage des cerveaux - NDT] - qui a connu une accélération vertigineuse après l'écroulement du bloc soviétique - de l'Agression, elles sont l'arme brandie par les Frères de l'Hallucination, "frères aînés" ou non, ce sont des actes de guerre accomplis par le Système contre tous les peuples. En premier lieu contre les Européens, les seuls à conserver dans leur patrimoine génétique, en dépit de toutes les formes de rééducation, la capa­cité scientifique, la volonté d'organisation et l'équilibre éthique pour offrir à l'humanité des solutions anciennes et nouvelles aux immenses défis imposés par l'application de modèles de pensée aberrants. [...]

Reste donc, irréductible comme il y a deux millénaires, le conflit entre les porteurs de deux mentalités opposées et inconciliables, entre deux conceptions ou visions du monde. Restent, incompatibles, l'un contre l'autre armés, "racisme" et "antiracisme", Cosmos païen et Royaume judaïque. Restent, irréductibles comme il y a deux millénaires, les nœuds de la dis­pute entre deux épistémologies incommensurables, entre deux univers idéologico-discursifs pourvus chacun de son propre Système de valeurs. »

Extrait d'Invasione, p. 304-305[6]

Publications

  • Lo specchio infranto. Mito, storia, psicologia della visione del mondo ellenica (Le miroir brisé. Mythe, histoire, psychologie de la vision hellénique du monde], Edizioni dell'Uomo libero, Milan, 1989.
  • Sentimento del fascismo. Ambiguità esistenziale e coerenza poetica di Cesare Pavese [Le sentiment du fascisme. Ambiguïté existentielle et cohérence poétique de Cesare Pavese], Società Editrice Barbarossa, Milan, 1991.
  • I complici di Dio. Genesi del mondialismo [Les complices de Dieu. Genèse du mondialisme], 4 volumes, Effepi, Gênes, 2009.
  • Holocaustica religio. Fondamenti di un paradigma [Holocaustica religio. Fondements d'un paradigme], Effepi, Gênes, 2007; 2° éd. revue et augmentée: Holocaustica religio. Psicosi ebraica, progetto mondialista [Holocaustica religio. Psychose juive, projet mondialiste], Effepi, Gênes, 2009.
  • Difesa della Rivoluzione. La repressione politica nel Ventennio fascista [Défense de la Révolution. La répression politique durant le Ventennio fasciste], Effepi, Gênes, 2009; 2° éd.: 2012.
  • La razza nel nazionalsocialismo. Teoria antropologica, prassi giuridica, Effepi, Gênes, 2010.
  • Note sui campi di sterminio. Immagini e statistiche [Notes sur les camps d'extermination. Images et statistiques], Effepi, Gênes, 2010.
  • L'ambigua evidenza. L'identità ebraica tra razza e nazione [L'évidence ambiguë. L'identité juive entre race et nation], Effepi, Gênes, 2010.
  • La rivolta della ragione. Il revisionismo storico, strumento di verità [La révolte de la raison. Le révisionnisme historique, instrument de vérité], Effepi, Gênes, 2010.
  • Trafficanti di sogni. Hollywood, creatura ebraica [Marchands de rêves. Hollywood, créature juive], Effepi, Gênes, 2011.
  • Invasione. Giudaismo e società multirazziale [Invasion. Judaïsme et société multiraciale], Effepi, Gênes, 2011; 2° éd. revue et augmentée : 2013.
  • L'occhio insonne. Strategie ebraiche di dominio [L'oeil insomniaque. Stratégies juives de domination], Effepi, Gênes, 2012.
  • ZOG. Governi di occupazione ebraica [ZOG. Gouvernements d'occupation juive], Effepi, Gênes, 2013.

Traduit en français

  • La Race selon le national-socialisme - Théorie anthropologique et pratique juridique, Pierre Marteau éd., 2014, 168 p.; augmentée d'une postface de Gaëtan Audenarde, « Le patrimoine doctrinal national-socialiste: jalons et signification d'une (re)découverte ») ; trad. allemande: à paraître.

Bibliographie

  • Philippe Baillet, « Les hommes qui tournent en rond et ceux qui vont dans le mur. D'Hervé Ryssen à Gianantonio Valli », in : Tabou, vol. 20, 2013, p. 133-184.
  • Philippe Baillet et Jean Plantin, « Gianantonio Valli (1949-2015) : une vie au service de l'idée », in : Tabou, vol. 22, 2015, p. 107-113.

Notes et références

  1. Philippe Baillet et Jean Plantin, « Gianantonio Valli (1949-2015) : une vie au service de l'idée », in : Tabou, vol. 22, 2015, p. 107-113.
  2. ibidem
  3. Gianantonio Valli, Invasione, Giudaismo e società multirazziale, 2ème éd. revue et augm., Effepi, Gênes, 2013, p. 298-299.
  4. ibidem, p. 303.
  5. Philippe Baillet, « Les hommes qui tournent en rond et ceux qui vont dans le mur. D'Hervé Ryssen à Gianantonio Valli », in : Tabou, vol. 20, 2013, p. 133-184.
  6. Les deux extraits ont été traduits et publiés in : Tabou, no 22.