Reconquête (concept)

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Reconquête ou Reconquista

Face à leur colonisation de peuplement par les peuples du Sud et l'Islam, les Européens sont objectivement en situation de résistance. Et leur projet, comme celui jadis de l'Espagne, ne peut être qu'une reconquête.

La capitulation de Grenade, par Francisco Pradilla y Ortiz : Boabdil remettant les clés de Grenade à Ferdinand II d'Aragon et Isabelle Ière de Castille.

Résistance et Reconquête

Ces deux notions de résistance et de reconquête sont intimement liées. Cette résistance est appelée aujourd'hui « racisme » ou « xénophobie », tout comme la résistance à l'occupant ou à la colonisation au cours de nombreux conflits a souvent été qualifiée de « terrorisme ». Il s'agit d'incapaciter et de diaboliser ceux qui, en toute bonne foi, prennent conscience de la tragique réalité et tentent de préserver leur peuple de la sujétion puis de la disparition pure et simple.

Il faut opérer un retournement sémantique : ceux qui favorisent, par un pseudo-humanitarisme antiraciste, l'immigration de peuplement, qu'ils soient politiciens ou philosophes auto-proclamés, doivent être nommés collaborateurs.

La reconquête ne devient une nécessité consciente que si le peuple est le dos au mur, que si la tragédie frappe à la porte et que l'urgence s'installe.

Tant que l'Etat ne sera pas colonisé, de manière visible, par les allogènes et les musulmans - ce qui ne saurait tarder, en raison des rapports démographiques et du vote des étrangers - , aucune réaction de révolte et de résistance ne se produira. Cette dernière ne surgit généralement que contre un pouvoir bien visible, pensé comme un occupant étranger et illégitime. Pour l'instant, où seule la société civile est atteinte et où, en apparence, le pouvoir est toujours entre les mains des autochtones, aucune velléité sérieuse de résistance et de reconquête ne se produit. Mais très bientôt, au train où vont les choses, les allogènes et les musulmans auront des communes, des députés aux législatives, des ministres. Il faut donc, dans l'hypothèse très probable où, pour des raisons démographiques comme du fait du caractère conquérant de l'islam, les pouvoirs publics seraient progressivement investis par les forces colonisatrices allogènes, préparer et organiser dès maintenant les esprits au devoir de reconquête par tous les moyens, métapolitiques et directement politiques.

Un des premiers axes de la reconquête consiste évidemment en un redressement démographique des Européens, bien qu'il soit fort tard : puisque, pour l'instant, rien ne vient endiguer les flux d'entrées massives et de naturalisations, comme l'invasion par les berceaux, qui augurent d'une véritable submersion ethnique. C'est là un des programmes centraux que doivent envisager les partis politiques conscients.

Le deuxième moment historique de la reconquête est évidemment celui de la libération. C'est la stratégie du départ d'Europe des allogènes, qui ne pourra s'accomplir qu'en des circonstances de crise révolutionnaire.

« Intégration » et « Communautarisme » : faux réalisme mais vrai fatalisme

A ce propos, beaucoup de faux sages partent d'un constat : il est trop tard, on ne peut rien faire, jamais on ne parviendra à « les » faire partir, il faut aménager au mieux la cohabitation ethnique. D'où la double lubie de l'« intégration » et du « communautarisme » pacifiques. Cette voie est celle de la fin de tout espoir, du renoncement, du décès accepté de la civilisation européenne, celle de l'aveuglement et du suicide, au nom d'un faux réalisme intellectualiste qui se trompe toujours dans ses jugements sur l'histoire.

Ceux qui tiennent ce raisonnement fataliste de la présence définitive et inéluctable en Europe de masses allogènes croissantes, n'obéissent à aucune analyse rationnelle, mais manifestent simplement une absence complète de conscience ethnique. C'est par indifférence envers leur propre peuple et son destin, et non à la suite d'études objectives qu'ils déclarent « impossibles » la reconquête et le départ de tous les allogènes.

Contre la fatalité, l'idéalisme de la volonté

La Chute du mur de Berlin en novembre 1989 : un exemple d'irruption de l'imprévu dans l'histoire.

Bien au contraire, rien ne nous dit de quoi demain sera fait. Entretenir comme une flamme de la volonté les idées impératives de résistance et de reconquête, voilà le véritable réalisme. Demain, ce qui semble aujourd'hui improbable apparaitra peut-être comme certain ; autrement dit, l'impensable deviendra pensable, l'irréalisable réalisable. Tout simplement parce qu'il y aura irruption du cas d'urgence, changement complet des données et des échelles de valeurs.

Citons des exemples historiques aussi divers que la Reconquista espagnole, le départ des Français d'Algérie, la reprise de l'Alsace-Lorraine, l'effondrement brutal de l'URSS, la défaite de l'Allemagne en 1945, sa réunification en 1991, ou même, actuellement, l'islam en train de devenir la première religion de France : tous ces faits étaient réputés impensables par les fins analystes quelques années seulement avant leur avènement ! Cela pour dire qu'il n'y a pas de « sens de l'histoire », ou plutôt que son cours est détournable par l' idéalisme de la volonté, allié au brutal changement des critères provoqué par les crises et notamment par les guerres civiles.

Bien sûr, nous n'imaginons pas encore comment pourrait concrètement s'opérer cette reconquête. Parce que nous pensons avec les œillères de la réalité actuelle. L'essentiel est donc, d'affirmer dès maintenant et partout l'esprit de résistance, et d'assigner comme objectif intangible l'idée-force de reconquête, sans savoir encore comment elle se réalisera. Car l'africanisation et l'islamisation de l'Europe me sont pas acceptables et doivent être considérées comme provisoires. Il ne faut pas oublier non plus que c'est à l'échelle européenne et non au niveau d'un seul pays que le résistance et la reconquête doivent s'organiser.

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