Métissage

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Mélange de races ou de souches ethniques différentes.

L'avenir de la planète?

L'idéologie dominante, au nom d'un prétendu antiracisme, affirme que le métissage est l'avenir de la planète. Or, seuls les peuples européens sont actuellement victimes d'un métissage avec les allogènes. Les autres peuples du monde ne se métissent pas, ou plus; ils s'organisent au contraire en blocs ethniques, soucieux de préserver leur identité.

La réalité du métissage

Avec la colonisation de peuplement que nous subissons, le métissage aboutit à la destruction progressive du germen, c'est-à-dire de la racine de la civilisation européenne. D'autre part, les populations largement métissées sont instables et donnent rarement lieu à de grandes créations historiques. Les sociétés métissées sombrent rapidement dans le racisme intérieur de supériorité, ce qui provoque l'affaiblissement des liens nationaux de solidarité. L'exemple de l'aire latino-américaine est parlant : la hiérarchie sociale s'organise, qu'on le veuille ou non, en fonction du critère implicite de "plus ou moins de sang blanc". L'idéologie du métissage aboutit donc au racisme implicite et généralisé.

Les contradictions de l'idéologie dominante et de sa propagande

L'apologie constante et répétitive du métissage comme impératif de société est tout d'abord un trait de l'ethnomasochisme des élites européennes; mais c'est aussi le fruit d'une utopie optimiste qui asserte que l'Européen de l'avenir sera un métis pour son plus grand bien. Ce dogme s'appuie sur des considérations pseudo-scientifiques, issues du catéchisme biologique de la pensée unique (Jacquard, Coppens, Le Bras, etc.) selon lequel les "races pures" seraient dégénératives et l'homogénéité ethnique un handicap historique. Il est à noter aussi cette contradiction flagrante : les partisans du métissage (qui sont les mêmes que ceux de l'"antiracisme") s'appuient sur la prétendue nécessité biologique de "mélanger les races". Or ils soutiennent par ailleurs que "les races n'existent pas" et que la plupart des déterminismes biologiques ne valent rien...

Ce dogme du métis, homme de l'avenir, s'apparente aussi au rêve universaliste de l'homme unique, d'une humanité uniforme, débarrassée des peuples. L'idéologie du métissage comporte un aspect totalitaire, celui de l'Etat mondial et de l'homme nouveau partout semblable, idée commune aux trotskistes et à l'ultra-libéralisme.

Le métissage est possible et tolérable s'il est exceptionnel, et non massif, s'il est aléatoire et non obligatoire et systématique.

Dans la même veine, on prône également le "métissage culturel" qui débouche concrètement non pas sur l’objectif affiché d'une culture universelle, mais sur la destruction de la seule culture européenne (par afro-américanisation), à qui l'on impose cet impératif de métissage. Ce dernier, habillé d'une phraséologie très élaborée, est devenu en Europe, dans tous les domaines, un point de passage obligé de tous les discours intellectuels.

Il est certain qu'en matière biologique et culturelle, il serait stupide de rejeter tous les mélanges au nom d'un dogme obsidional de pureté. Mais pour être féconds, les mélanges doivent être des unions de proximité. C'est une loi générale de la vie. Les alliances trop proches comme trop lointaines échouent : les premières mènent à la stérilité, les secondes au chaos. Quoi qu'il en soit, dans les faits observables, l'humanité ne se dirige nullement vers un métissage généralisé ; seules les sociétés déclinantes succombent à cette illusion[1].

Articles connexes

Notes et références

  1. Guillaume Faye, Pourquoi nous combattons : Manifeste de la Résistance européenne, Paris, L'AEncre, 2002, 292 p., p. 205-207.