Jean-Claude Scholsem

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Jean-Claude Scholsem

Jean-Claude Scholsem est un professeur retraité de droit public et constitutionnel de l'université de Liège en Belgique [1]. Il a succédé à François Perrin. Christian Behrendt occupe désormais sa fonction.

Jean-Claude Scholsem est né à Beyne-Heusay le 27 août 1943.

Son neveu, Marc Levaux, est devenu assistant puis professeur d'université à la faculté de droit.

Biographie

Activités antinationales

Présentation par l'université de Liège de l'ouvrage antinational réalisé sous la direction de Paul Delnoy et de Jean Beaufays auquel Jean-Claude Scholsem a contribué

Jean-Claude Scholsem a contribué à la rédaction d'un ouvrage anti-national, réalisé à l'initiative du professeur social-chrétien Paul Delnoy et du professeur socialiste et franc-maçon Jean Beaufays [2].

Absence de lutte contre la corruption

Lorsqu'il était doyen de la faculté de droit de l'Université de Liège, Jean-Claude Scholsem n'a pas combattu le système de privilèges dont bénéficiaient de fait, auprès de certains professeurs tels qu'Albert Fettweis ou Paul Delnoy, des "fils de" [magistrats ou amis du professeur]. Il n'a pas non plus remis en question le fait que le professeur social-chrétien (PSC) Paul Delnoy avait pris comme assistant Xavier Drion, le neveu de l'influent politicien social-chrétien (PSC) Dominique Drion, pendant que le fils du professeur Delnoy, Michel Delnoy, devenait assistant. En 1991-1992, Michel Delnoy était assistant au service de droit public du doyen Jean-Claude Scholsem, puis du doyen Michel Pâques de 1993 à 2004.

Michel Delnoy a présenté sa leçon inaugurale de professeur à la faculté de droit de l’université de Liège le 24 mars 2011 au sein des Amphithéâtres de l’Europe. L’intitulé de celle-ci contient le prénom de son père, le professeur à la faculté de droit de l’université de Liège Paul Delnoy  : « La personnalité (juridique) de Paul. Paul a-t-il des droits ? ». Il précise cependant qu’il parle de « Paul de poulpe » (une pieuvre décédée en 2010 qui était en captivité à l’aquarium Sea Life d’Oberhausen en Allemagne et était renommée pour ses prédictions de résultats footballistiques en faisant connaître ses choix en ouvrant une boîte aux couleurs de l'équipe gagnante) et pas de son père, tout en citant ce dernier. Le présentateur de l’événement revient après le discours de Michel Delnoy sur la personne de Paul Delnoy pour déclarer qu’il n’imaginait pas à l’époque à laquelle il suivait le cours de ce dernier qu ’un jour celui-ci serait comparé à un poulpe.

Michel Delnoy a publié un article intitulé « Les obligations juridiques de cohérence du droit ou comment le droit se protège contre lui-même » [2] au sein d’un ouvrage intitulé Liber Amicorum Paul Delnoy, rendant hommage à son père Paul Delnoy et réalisé à l’initiative de Christine Biquet, licenciée en droit (1988) et docteur en droit (1998) de l'université de Liège et de tendance politique sociale-chrétienne (PSC), ex-membre des Étudiants sociaux-chrétiens, ayant réalisé sa thèse de doctorat sous la direction de la belle-sœur de Paul Delnoy, Irma Moreau-Margrève, et d’un autre professeur. Irma Moreau-Margrève a aussi apporté sa contribution à cet ouvrage. Ajoutons que Christine Biquet a été l'assistante d'Irma Moreau-Margrève entre 1992-1998, a rédigé sa thèse de doctorat sous la direction de cette dernière et a été également aspirante au Fonds national de la recherche scientifique (FNRS) sous la direction de cette dernière de 1988 à 1992.

Marc Levaux, un neveu douteux

Le neveu de Jean-Claude Scholsem, Marc Levaux, est un individu peu recommandable.

Marc Levaux
La rue Varin à Liège, fréquentée par Marc Levaux

Immoral

Marc Levaux est connu comme un individu particulièrement immoral, arriviste, sans scrupules, faux et extrêmement rusé.

Particulièrement manipulateur

Une des techniques utilisées par Marc Levaux consiste à envoyer dans l’entourage des gens qu’il désire manipuler des personnes de son propre entourage afin de leur communiquer de fausses informations et de récolter des informations.

Prostituée et activités antinationales

Ayant été aperçu, en 1989, par un nationaliste, sortant d’un bordel de la rue Varin à Liège, Marc Levaux - qui sortait à cette époque avec une étudiante de la faculté de droit, Anne Debrulle, - a fait à ce dernier de graves ennuis afin de tenter de le faire taire. Il a utilisé, à cette fin, sa proximité avec Olivier Casters [3] - à l'époque étudiant comme lui à la faculté de droit de l'université de Liège -, dont le père - Jean Casters - dirigeait une milice privée dénommée DARE (Défense, Action, Recours, Énergie) [4] [5] [6], qui stockait des armes, a puni de petits délinquants, a espionné des gens, a menacé un journaliste et a été mêlée à un trafic d’armes et à une mystérieuse « loge noire », dite « loge de justice », qui réalisait des enquêtes parallèles sur les milieux de la drogue.[1]

Fournit de fausses informations aux forces de l'ordre sur un groupement nationaliste

Marc Levaux a tenté également de faire des ennuis au nationaliste en question en balançant sur lui de fausses informations à la BSR (à l'époque, la gendarmerie en civil).

Références

  1. BREËS Gwenaël, L'Affront national. Le nouveau visage de l'extrême-droite en Belgique, EPO, Bruxelles, 1991, p. 124. -> Note : source d'extrême gauche, publiée par les éditions du Parti du Travail de Belgique.