Paul Delnoy
Paul Delnoy est un ancien professeur d’université liégeois (Université de Liège en Belgique), de la faculté de droit, qui s’est distingué par ses positions politiques antinationales. Membre de l’aile gauche du PSC (Parti social-chrétien, devenu en 2002 Centre Démocrate Humaniste / CDH), il a réalisé avec le franc-maçon socialiste Jean Beaufays, également professeur d’université à Liège, un ouvrage, dont il a écrit un chapitre, qui est une attaque primaire contre la famille patriotique.
Sommaire
Corruption, népotisme, politisation, dysfonctionnements
Paul Delnoy (PSC) a succédé au professeur PSC Pierre Harmel [1] en tant que professeur de droit notarial. Une décennie après l'admission à la retraite de ce dernier, Paul Delnoy fait réaliser par diverses personnes un ouvrage intitulé Mélanges de suggestions de lois en hommage à Pierre Harmel.
Paul Delnoy (PSC) avait pris comme assistant au sein de l’université de Liège Xavier Drion, le neveu du politicien influent au sein du PSC Dominique Drion, cela alors que Paul Delnoy sollicitait des fonctions au sein du PSC liégeois et que son fils, Michel Delnoy, était membre du PSC. En outre, la femme de Paul Delnoy, Clotilde Margrève (1933-2018), était magistrat de tendance PSC et a terminé sa carrière en tant que présidente de la Cour d'appel de Liège. Le fils du professeur Delnoy, Michel Delnoy, avait également été engagé comme assistant à la faculté de droit de l’université de Liège. Paul Delnoy est le beau-frère de l'ancien professeur de la faculté de droit Madame Irma Moreau-Margrève. Le fils Delnoy, Michel Delnoy, est devenu professeur d'université par piston.
La direction de l’Université de Liège, aux mains des francs-maçons Willy Legros puis Bernard Rentier, n’a pas daigné sanctionner le Professeur Delnoy pour le fait qu’il ait pris comme assistant le neveu de Dominique Drion. Lorsque Dominique Drion a été contraint de quitter la politique suite à son implication dans le scandale Publifin, le recteur de l'université de Liège de l'époque, Albert Corhay, n'a pas désiré ouvrir une enquête sur le fait que le professeur Delnoy avait engagé autrefois le neveu de Dominique Drion. Les recteurs de l'université étant élus avec l'appui de la franc-maçonnerie et les fonctions dirigeantes de l'université étant réparties entre des individus liés aux trois partis du système (socialiste, social-chrétien et libéral), les tendances non-sociales-chrétiennes ne désirent pas remettre en cause les équilibres et s'accommodent du fait qu'elle dispose d'un levier pour « tenir » les sociaux-chrétiens.
Le professeur Delnoy faisait passer les examens dans son bureau, alors que ceux-ci doivent être publics, et recevait de nombreux appels téléphoniques. Il était connu pour sa malhonnêteté dans les cotations, accordant une réussite à des enfants de gens qu'il connaissait et qui ne savaient rien, tout en retirant des points à des gens qui auraient dû réussir.
Paul Delnoy et sa belle-sœur Irma Moreau-Margrève étaient réputés pour leurs problèmes psychologiques et leurs comportements anormaux avec certains élèves lors des examens. De plus, ces deux individus avaient visiblement quelque chose à se prouver.
Lorsque le recteur de l'université de Liège Bernard Rentier a permis à des illégaux de loger au sein des bâtiments de l'université, Paul Delnoy l'a félicité. [2]
Lors de l’admission du professeur Paul Delnoy à la retraite, Christine Biquet, licenciée en droit (1988) et docteur en droit (1998) de l'université de Liège et de tendance politique PSC / CDH, ex-membre des Étudiants sociaux-chrétiens, ayant réalisé sa thèse de doctorat sous la direction de la belle-sœur de Paul Delnoy, Irma Moreau-Margrève, et d’un autre professeur, rend hommage à Paul Delnoy en dirigeant la réalisation d’un Liber Amicorum consacré à ce dernier [3]. Ajoutons que Christine Biquet a été l'assistante d'Irma Moreau-Margrève entre 1992-1998, a rédigé sa thèse de doctorat sous la direction de cette dernière et a été également aspirante au Fonds national de la recherche scientifique (F.N.R.S.) sous la direction de cette dernière de 1988 à 1992. De plus, le fils de Paul Delnoy, Michel Delnoy, publie, au sein de cet ouvrage, un article intitulé « Les obligations juridiques de cohérence du droit ou comment le droit se protège contre lui-même » [4] et Irma Moreau-Margrève, un article intitulé « Égalité en droit, précarité du droit. Illustration en matière de suretés.» [5]
Le professeur Delnoy était proche de l’échevin [adjoint au maire] PSC/CDH Jacques Marneffe (décéde en 2017), qui avait démissionné suite à des accusations d'utilisation de matériel et de personnel de ses services d’échevin pour son commerce de vin [6]. Jacques Marneffe n’a finalement pas été condamné (mais la magistrature, à l’époque issue de nominations politisées souvent réalisées par le PSC/CDH, allait-elle le condamner ?).
Lors du départ à la retraite du professeur à la faculté de droit de l’université de Liège Melchior Wathelet (père) [7] – devenu autrefois député PSC de l’arrondissement de Verviers parce que Melchior Wathelet grand-père avait mis 1 million de francs belges sur la table du PSC alors que Melchior Wathelet (père) était en concurrence pour ce poste avec le bourgmestre PSC de Malmedy de l’époque Robert Labiaux –, les professeurs retraités Paul Delnoy et Irma Moreau-Margrève sont présents [8] – Melchior Wathelet (fils) a aussi reçu du CDH de hautes fonctions politiques : il est devenu vice-Premier ministre et ministre comme Melchior Wathelet (père). Ce dernier avait, en tant que ministre de la Justice, été responsable de la libération, à l'encontre de l'avis du parquet de Mons et de la commission administrative de la prison [9], du pédophile Marc Dutroux qui avait pu ainsi commettre des actes d’enlèvement et de pédophilie qui avaient conduit à la mort de plusieurs enfants .
Lorsque le député européen CDH sortant Anne Delvaux entre en conflit en 2014 avec la direction du parti à la suite du fait qu’elle n’obtient pas la tête de liste pour les élections européennes à venir, Paul Delnoy lance une campagne en vue de lui demander de rester et d’accepter des compensations (place d’échevin à Liège et place sur la liste du CDH à Liège lors des élections pour la Chambre des députés) [10]. Cette dernière refuse et claque la porte. Le parti se trouve ridiculisé à la suite de l’action de Paul Delnoy [11]. Plus tard, il apparaît qu’Anne Delvaux à touché de l’argent dans l’affaire des comités de secteur de Publifin [12]. Anne Delvaux accuse alors Dominique Drion d'avoir mis le système en place.
En 2015, Paul Delnoy exerce des fonctions au sein des « aînés » du CDH de l'arrondissement de Liège [13]. En 2020, il figure toujours parmi les cadres du CDH [14].
Paul Delnoy a été membre de l'assemblée générale du CHC MontLégia, une structure hospitalière chrétienne liégeoise, dont Xavier Drion, son ancien assistant à l'université de Liège - et neveu et associé de Dominique Drion - est le président du Conseil d'administration [15]. Suite à une réforme des statuts limitant l'âge à 75 ans, Paul Delnoy n'a plus été membre de cette assemblée.
Écrits anti-nationaux
La table des matières du livre anti-national édité par l’université de Liège et intitulé Pour la démocratie : contrer l'extrémisme liberticide : [16].
Paul Delnoy donne une interview avec Jean Beaufays à la revue Espace de Libertés (mensuel du Centre d'Action Laïque) : « Pouvoir dire "non" [au nationalisme] ». N°289 de mars 2001.
N'aimant pas les patriotes, Paul Delnoy a fait des problèmes à ceux qu'il avait repéré parmi les élèves suivant son cours.
L’Université de Liège (ULG), dont la direction est aux mains des francs-maçons et des trois partis politiques du système (dont le PSC/CDH), s’est à plusieurs reprises distinguée par ses activités anti-nationales et sa corruption.
Parcours
Paul Delnoy est devenu avocat en 1964, puis a quitté cette fonction en 1967 afin de se consacrer exclusivement à celle d’assistant à l’université, puis de chargé de cours et enfin de professeur ordinaire. Il a pris sa retraite en 2005. Il est resté professeur invité durant deux années supplémentaires.
Échec au Conseil d’État
En 2000, Paul Delnoy postule une fonction d'assesseur auprès de la section de législation du Conseil d'État. Parmi les quatre candidats s’étant manifestés, trois sont professeurs d’université. Paul Delnoy arrive troisième du classement, soit le dernier parmi les professeurs d’université ayant postulé. Il n’obtient pas cette fonction [17].
Œil de Moscou
En tant que professeur, Paul Delnoy dédoublait sa classe et donnait le cours 2 fois (à chacune des deux moitiés de la classe). Il demandait aux élèves de rendre en début d'année une fiche avec une photo personnelle.
Religion
Paul Delnoy est un habitué de l'église catholique Sainte-Marie des Anges à Liège. [18]
Loisirs
Il est un mélomane et joue de l'orgue. Autrefois, il pratiquait le tennis.
Radin
Les Delnoy, malgré leur gros revenus, disposent à leur domicile, situé 22 rue de Harlez, de compteurs de nuit afin de réaliser un maximum d'économies financières. Lorsqu'il jouait au tennis, Paul Delnoy n'amenait jamais ses balles et comptait sur les autres pour qu'ils prennent les leurs.
Famille
Paul Delnoy a deux enfants : un fils, Michel Delnoy, qui a eu des enfants (Adrien et Matteo) avec Valérie Stas, et une fille, Claire Delnoy, qui a eu des enfants (Camille, Marie et Martin) avec Daniel Schulpen (de Berloz, près de Waremme). Camille Schulpen est mariée avec Ludo Franquinet.
Coordonnées
Adresse privée : 22, rue de Harlez 4000 Liège Belgique
Téléphone: 04/254.38.50.
Portable : 0476/40.87.82.
Courriel : paul.delnoy@skynet.be / paul.delnoy@ulg.ac.be
