Guerre civile ethnique
Affrontements graves et prévisibles opposant les populations européennes de souche aux colonisateurs allogènes, d'origine principalement afro-maghrébine, qui risquent de se déclencher, d'abord en France et en Belgique, dans la première moitié du XXIème siècle.
En Europe et surtout dans les deux États précités, face à l'islam et aux populations allogènes, nous avons dépassé le seuil des frictions ou de la simple délinquance, et sommes entrés, depuis les années 90, dans un processus de pré-guerre civile, lié à une volonté de colonisation territoriale et démographique.
Seul le déclenchement mécanique d'une véritable guerre civile résoudrait hélas le problème actuel de notre colonisation de peuplement, de notre africanisation et islamisation galopantes, la plus grave tragédie qu'ait affrontée l'Europe dans toute son histoire et qui échappe totalement à la perspicacité des « élites », composées soit d'aveugles ou bien de collaborateurs.
La guerre civile ethnique sera-t-elle le seul moyen de « traiter à chaud » un problème qui ne pourra plus jamais trouver de solution « à froid », dans le cadre de l'État de droit ou de la démocratie, et de faire effectuer une prise de conscience de la nécessité de résistance et de reconquête ? Entendons-nous bien, il ne s'agit pas d'appeler à la guerre, mais de considérer sa fatalité comme automatique. Les solutions de « cohabitation rationnelle et pacifique » de type communautariste appartiennent aux croyances enfantines d'intellectuels iréniques et rationalistes, ignorants en sociologie comme en histoire.
Ce n'est que le dos au mur, face aux cas d'urgence, dans les crises que les peuples se mobilisent et trouvent des solutions en d'autres temps impensables. Ce fut par la Reconquista armée que l'Espagne se débarrassa de l'occupation arabo-musulmane. Mais elle y mit du temps, et, avec l'accélération de l'histoire, on peut en mettre moins. L'essentiel est de se préparer à cette échéance inéluctable.
Aujourd'hui, les conditions de déclenchement d'une guerre civile ne sont pas réunies, du fait de l'apathie des populations européennes anesthésiées (par la société marchande comme par les idéologies culpabilisatrices). Ces conditions seront mécaniquement réunies lorsque :
1) L'État commencera à tomber progressivement aux mains des « communautés » afro-maghrébines et musulmanes. Ce qui ne va pas tarder à se produire, avec le « vote ethnique » qui commencera par les municipalités, puis se poursuivra avec les législatives, où les pouvoirs locaux et nationaux vont être investis progressivement par les colonisateurs.
2) Lorsqu'une dégradation de la situation économique populaire (provoquée par le vieillissement démographique) se conjuguera à une accentuation prévisible de la criminalité afro-maghrébine, atteignant un niveau insupportable et liée à une conquête territoriale intérieure de plus en plus marquée. On ne se révolte pas quand les caddies sont pleins.
Tout est affaire de seuil de perception du danger par les populations. Ce qu'il faut retenir pour résumer, c'est qu'il n'y aura pas de rebellion des populations européennes, tant que le pouvoir politique ne sera pas investi par les Afro-Maghrébins et donc perçu comme oppresseur, comme occupant; et tant que la catastrophe économique qui va résulter de l'immigration et de notre vieillissement démographique n'aura pas éclaté.
Or, ce phénomène commence.
En effet, on ne se dresse que contre une autorité, perçue comme étrangère et illégitime, et non pas contre des faits sociaux, contre une simple société civile, ni contre un pouvoir apparemment « national ».
Bibliographie
- Guillaume Faye, Guerre civile raciale (préf. Jared Taylor), Éditions Conversano, 2019, 300 p.
