Willy Demeyer

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Affiche élections 2014

Willy Demeyer (né à Liège en Belgique le 17 mars 1959) est un homme politique belge (PS-Parti socialiste) de langue française. Il est bourgmestre (maire) de Liège depuis le 15 septembre 1999.

Bibliographie

Non respect des standards démocratiques

Willy Demeyer a lors de ses activités politiques, et notamment en tant que maire de Liège, refusé systématiquement de reconnaître aux élus nationalistes les droits qui leur sont dus. Les conseillers municipaux du Front National (belge) ont été systématiquement discriminés au sein du Conseil municipal de Liège. Lorsqu'en 2015 et 2016, le mouvement PEGIDA a désiré manifester à Liège, Willy Demeyer a frappé, à plusieurs reprises, ce mouvement d'interdiction de rassemblement.

Tentative de réviser l'histoire

Willy Demeyer, en tant que bourgmestre socialiste de Liège, balaye sous le tapis le comportement du Bourgmestre socialiste de Liège durant la Seconde guerre mondiale Joseph Bologne. Willy Demeyer tente également de nier le fait que de nombreux nationalistes et patriotes ont été résistants, ainsi d'ailleurs que les fascistes liégeois de la Légion Nationale dirigée par Paul Hoornaert (mort en déportation en Allemagne suite à des actes de résistance).

Islamisation

Willy Demeyer a accepté en tant que maire la construction à Liège en 2015 de la plus grande mosquée de Wallonie [2]. Il tente de capter l'électorat musulman par divers moyens, tels des visites de mosquées. [3]

Favorable aux clandestins

Willy Demeyer se déclare favorable à l'accueil de migrants et précise que des illégaux vivent à Liège.[4]

Nombreux SDF

La politique de Willy Demeyer en tant que maire a eu pour conséquence d'attirer à Liège de nombreux SDF qui sont logés et nourris par diverses structures qui reçoivent des financements publics. Par exemple, l'ASBL Sans Logis. [5]

Résultats catastrophiques de la gestion municipale

Face à la gestion catastrophique, depuis plusieurs décennies, de la ville de Liège par le Parti socialiste, de nombreux habitants ont quitté la ville pour rejoindre des endroits plus lointains. De nombreux quartiers se sont paupérisés. Certains de ces quartiers, tels Bressoux ou Droixhe,se sont même islamisés. Des rues commerçantes ont vu une partie de leurs commerces fermer leurs portes.

Salles de shoot pour les drogués

La politique laxiste du maire ayant conduit à la venue à Liège de nombreux drogués, Willy Demeyer dépose à la fin de l'année 2013 une proposition de loi afin que soient légalisées en Belgique les salles d'injection pour les drogues dures.

Politisation des nominations

De très nombreuses personnes qui travaillent au sein de l'administration communale de Liège ainsi que les directions des écoles municipales ont été nommées politiquement.

Cumul de mandats

Le quotidien liégeois La Meuse classe en août 2017 Willy Demeyer en troisième position des plus gros cumulards de la région

Selon le site Cumuleo, Willy Demeyer cumule 16 mandats :

Appartenance maçonnique

Franc-maçons liégeois. Source : [1].

Willy Demeyer est membre de la loge maçonnique Robespierre de Visé qui dépend du Grand Orient de Belgique. Elle porte le n°65 et a été créée en 1976. [6]

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Le 2 juin 2012, Willy Demeyer ouvre la 9ème Journée Citoyenne de la Commission Nationale de Santé Publique et de Bioéthique, à Liège, sous l'égide du Grand Orient de France et du Grand Orient de Belgique, en présence de Guy Arcizet, Grand Maître du Grand Orient de France, et de Jef Asselbergh, Grand Maître du Grand Orient de Belgique. [7]

Gare pharaonique et aberration de l'investissement

Willy Demeyer a soutenu la réalisation d'une gare pharaonique aux Guillemins. Une partie du quartier a été rasée. La gare a coûté énormément d'argent. Elle a été construite par de la main d'oeuvre venue d'Espagne à cette fin. La réalisation de la gare n'a pas conduit à la création d'emplois. Des trains ont dû ensuite être supprimés faute d'argent.

Gare des Guillemins

Sa main droite ignore ce que fait sa main gauche

Willy Demeyer a voté en tant que sénateur socialiste une loi qui vise à expulser du chômage un certain nombre de personnes. Par la suite, afin de contrer électoralement la gauche radicale, Willy Demeyer dénonce publiquement ces mesures qu'il a votées.

Conflit d’intérêt

La ville de Liège, dont Willy Demeyer est le maire socialiste, soutient en tant que sponsor l’événement de propagande politique antinational Nuit blanche contre listes noires organisé à Liège, juste avant les élections, par l’Association sans but lucratif (ASBL) La Cible, liée au syndicat socialiste FGTB.

Copinages au Port autonome de Liège

Willy Demeyer est le président du Port autonome de Liège. Au sein de cette institution, le socialiste Pierre Snyders, licencié de l'ISSEP pour faute grave et sous enquête judiciaire, est recasé comme directeur administratif. [8] Une personne est licenciée pour faire place nette au nouveau venu. Le ministre de tutelle s'inquiète de la situation, envoie une missive et ne reçoit pas de réponse.[9] Il apparaît que Pierre Snyders est l'oncle du maire socialiste de Seraing Alain Mathot et qu'une réunion de concertation a eu lieu entre ce dernier et Willy Demeyer [10].

Fraudes à l'affichage

Alors que Willy Demeyer pourchasse en tant que maire de Liège les affichages électoraux de ses adversaires, lui-même ne respecte pas les règles car certaines de ses affiches sont collées en infraction des prescriptions légales. (Sur cette photo figure sur le panneau tout à droite une affiche de Willy Demeyer alors que ce panneaux est dévolu à un autre parti que le PS). [11]

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Interdiction faite à des travailleurs de manifester le 1 mai

Willy Demeyer interdit aux pompiers mécontents de manifester le 1 mai 2014 : [12]

Interdiction des manifestations d’opposition

Willy Demeyer a interdit trois manifestations de PEGIDA à Liège (en décembre 2015, février et mai 2016) ainsi que deux manifestations du Parti des Pensionnés (en février et mars 2016). Cela ne l'empêche cependant pas de clamer partout qu'il est démocrate.

Atteintes à la libre circulation des personnes

Lors de la Coupe du monde de football 2014 qui se déroule au Brésil, Willy Demeyer fait fermer après les matchs de football auquels la Belgique participe le centre de la ville aux véhicules. [13]

Mur anti-SDF

Des SDF occupant une place sous un pont devant un café, un mur anti-SDF est érigé. Face au tollé suscité par cette initiative, Willy Demeyer fait arrêter les travaux en prétendant qu'il n'était pas au courant et rejette la faute sur un adjoint au maire membre d'un autre parti. [14]

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Le lendemain, Willy Demeyer annonce que le mur sera détruit car la ville de Liège est "une ville ouverte et tolérante". [15]

La nouvelle passerelle

La nouvelle Passerelle qui relie le quartier des Guillemins et le parc de la Boverie est nommée « La Belle Liégeoise » en hommage à Anne-Josèphe Théroigne de Méricourt [16]. Or, cette dame était une prostituée de haut vol et une folle. [17]

Belle liégeoise

Avec l'ex-compagne de Guy Mathot

Michèle Lempereur

Willy Demeyer a pour compagne Michèle Lempereur, ex-partenaire de Guy Mathot, l'ancien député-bourgmestre (maire) de Seraing et ancien ministre, "plusieurs fois éclaboussé, jamais mouillé" et notoirement connu dans la région comme étant un tenancier de bordel. L'intercommunale Tecteo, dirigée par un socialiste, a repris la société de Michèle Lempereur en épongeant les pertes [18].

Michèle Lempereur est impliquée dans des conflits d'intérêts [19]. De plus, elle a été administratrice à l'aéroport de Liège, mais sans mandat politique, une pratique légale mais qui pose question. Sa rémunération y avoisinait les 13.000 euros bruts par an. Elle a démissionné de cette fonction en février 2017, après l'avoir exercée durant plusieurs années.

Démissions

Suite à l’éclatement du scandale Publifin, Willy Demeyer quitte ses fonctions de président de la fédération liégeoise du PS et de député national [20].

Motion en faveur de la régularisation des clandestins

Le lundi 3 février 2020, Liège vote une motion qui réclame la régularisation des sans-papiers sur base de critères clairs et à mettre en œuvre par une commission permanente indépendante de l’Office des étrangers [21].

Le cas Stassart interdit de conseil communal public

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Article La Meuse du 20 décembre 2021 à propos de Pierre Stassart :

Le cas Stassart interdit de conseil communal public à Liège

L’opposition liégeoise a voulu évoquer la condamnation de l’échevin Stassart au conseil communal de Liège. Le bourgmestre a refusé de le faire en séance publique.

Conseil communal étonnant ce lundi soir à Liège. Alors qu’il venait de débuter avec les interpellations des conseillers, sa retransmission – le conseil se déroule en visioconférence suite aux mesures Covid – a en effet été interrompue. En cause, le huis clos imposé par le bourgmestre Willy Demeyer suite à une intervention du PTB évoquant la condamnation de l’échevin de l’Instruction publique, Pierre Stassart. Et dans laquelle il était demandé au bourgmestre de revenir sur sa décision de maintenir M. Stassart à son poste tant que la cour d’appel n’aura pas rendu son arrêt à son sujet.

Une décision annoncée quelques minutes avant le début de la séance, en réunion de chef de groupe, qui repose sur l’article 35 du règlement d’ordre intérieur du conseil communal, a expliqué M. Demeyer pour la justifier. Mais qui a quelque peu sidéré l’opposition, tous partis confondus.

« Vous préférez protéger un échevin condamné plutôt que l’enseignement liégeois, les élèves et leurs parents », a ainsi tonné Sophie Lecron, la cheffe de groupe PTB, peu avant que la retransmission ne soit interrompue.

« Il est donc interdit de parler publiquement de la condamnation d’un mandataire public ? », s’est interrogé un autre conseiller.

Motion rejetée également

Vert Ardent, de son côté, s’est donc fendu d’une réaction sur sa page Facebook, évoquant une « assemblée démocratique abîmée. Pour la première fois depuis des temps immémoriaux siégera une personne condamnée en justice, et qui plus est pour du favoritisme dans le cadre de sa fonction d’échevin. C’est une flétrissure dont nous ne voulons pas être les témoins passifs. La condamnation n’étant pas suspendue le temps de l’appel, cette situation pourrait perdurer à moins d’un sursaut d’honorabilité du PS liégeois. »

Cette interpellation à huis clos faisait suite à une autre décision prise également par la majorité liégeoise concernant Pierre Stassart.

Une motion d’ordre, soutenue par le PTB, Vert Ardent, le cdH et Vega, avait en effet été déposée pour être discutée à l’ordre du jour. Mais elle a également été refusée. Pour un autre motif, officiel cette fois : elle n’a pas été déposée dans les temps, soit avant le mardi soir qui précède le conseil communal. Motion dans laquelle les partis de l’opposition, se basant sur une déclaration de Frédéric Daerden, le président du PS liégeois, évoquant le fait que Pierre Stassart devrait peut-être « faire un pas de côté », demandaient à nouveau au bourgmestre de la Cité ardente de justifier la position de la majorité.

Motion qui sera donc réintroduite au prochain conseil communal, annonce déjà Benoît Bouchat. Mais qui risque également de se voir discutée à huis clos…

Ses fonctions

Conseiller communal de la Ville de Liège depuis le 1 janvier 1989. Échevin des Travaux de la Ville de Liège dès le 18 février 1991. Bourgmestre de Liège, depuis 1999. Député wallon. Élu en juin 2004, il a démissionné de son mandat lors de son élection à la présidence de la fédération liégeoise du Parti socialiste. Président de la fédération liégeoise du Parti socialiste depuis mai 2005. Sénateur depuis les élections du 13 juin 2010; vice-président du Sénat. Vice-président du Parti socialiste depuis le 6 décembre 2011.

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