Tradiland

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Tradiland est un roman inachevé, mis en ligne sur internet, dont l'auteur est Henri de Fersan. Seuls les chapitres 27, 32, 36, 45, 51, 58, 72, 73 et 80 (présenté comme le dernier) ont été écrits. Son auteur le décrit comme un "roman de politique-fiction racontant une révolution rexiste en France".

Résumé

Dans un monde futur mais pas si éloigné que cela, la France est en proie à une violente crise économique qui l’a réduite à la misère. Le communautarisme règne en maître et malheur à celui qui se retrouve sans groupe de pression pour l’aider : il est perdu d’avance. Pour maintenir un semblant de cohésion sociale, le gouvernement républicain libéral-socialiste (voire parfois social-libéral) montre du doigt un bouc émissaire commode, détesté de tous, visant à cristalliser dans son rejet une unité républicaine de plus en plus factice : le « raciste » ou supposé tel. Et pour être accusé de ce titre infamant, peu de choses suffisent, surtout quand on a la mauvaise couleur de peau, blanche, et la mauvaise religion, catholique.

Lassés d’une discrimination perpétuelle ayant tué tous leurs espoirs, un groupe d’autochtones français, profondément catholiques, décident d’inverser le problème : hier nationalistes français, ils brûlent leurs papiers, renient leur nationalité et se réclament d’un nouveau peuple minoritaire : les Tradilandais. Immédiatement, leur chef, appelé « le Commissaire Général », proclame la lutte pour l’indépendance d’un nouvel Etat : Tradiland. Le maquis s’implante dans la Creuse, obtient une aide financière de la Chine Populaire et de l’Iran -trop contents de voir naître en Europe un Etat anti-américain dans un contexte de Guerre Froide-, et une aide militaire de la Biélorussie. Rapidement, un territoire allant de la Vendée au Forez est occupé par « l’armée tradilandaise » et le « Commissaire Général » est proclamé Imperator du nouvel Etat. Il fait immédiatement construire une capitale au cœur du Cantal, son fief, sa base : le Bunker Palace. Pendant de nombreux mois, une guerre féroce va opposer la France et le nouvel Etat. Toutes les puissances mondiales vont s’impliquer dans le conflit. Le tournant de la guerre va avoir lieu quand un gouvernement altermondialiste allié aux islamistes va prendre le pouvoir en France. Jadis acquis au régime, « l’Axe du Bien » (Etats-Unis, Grande-Bretagne, Italie, Israël) va retourner ses alliances et bombarder lourdement la France sous couvert de la « libérer ». Contre sa neutralité, Tradiland se verra autorisé par l’Axe à occuper la Bretagne et la Basse-Normandie et sera reconnu comme un « Etat indépendant ». Les Casques Bleus monteront la garde entre Tradiland et le gouvernement fantoche à la solde de l’Axe en place à Paris.

Patiemment, l’Imperator crée un pays conforme à sa vision du monde. La population, trop contente de trouver une alternative à la misère ambiante, s’y rallie. Des flots de réfugiés tentent de fuir la France en ruine mais sont généralement impitoyablement refoulés et s’entassent dans les camps de réfugiés sous contrôle de l’ONU. Dans la zone tradilandaise, une nouvelle société se crée : nouvelles valeurs, nouvelle histoire, nouveau régime, nouvelle classe dirigeante. Eclaboussée par le scandale des rafles d’adolescentes dans les camps de réfugiés, l’ONU retire ses Casques Bleus, les Tradilandais ayant réussi à convaincre des officiers belges et suisses de se laisser capturer. Privé du bouclier international, ce qui reste de la France est bientôt envahi par Tradiland. Une par une, les provinces tombent : Aquitaine, Savoie, Alsace, Bourgogne, Corse, Ile-de-France, Champagne, Lorraine… S’ensuivent l’épuration et la « normalisation » internationale. Mais déjà, le tonnerre gronde, ailleurs : le redressement de l’Europe inquiète les Etats-Unis et surprend la Chine. Une autre page s’ouvre, nouvelles guerres en perspective….

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