Susanne Zeller

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Susanne Zeller (née Hirzel le 7 août 1921 à Untersteinbach  ; † 4. Dezember 2012) était une amie de Sophie Scholl. Elle a appartenu, ainsi que son frère Hans Hirzel, au groupe de résistance au national-socialisme La Rose blanche.

Susanne Zeller-Hirzel

Hans Hirzel, le frère de Suzanne Zeller, a été cadre du parti die Republikaner. Susanne Hirzel a été active au sein de cette formation politique. Elle a été également activement impliquée dans le mouvement citoyen Pax Europa (BPE) qui a pour objet de lutter contre l’islamisation de l'Allemagne.

Peu de temps avant son décès, Susanne Zeller a pris part, à Stuttgart, au Bade-Wurtemberg, aux côtés de Michael Stürzenberger et Michael Mannheimer, à la réactivation de La Rose blanche.

Vom Ja zum Nein. Eine schwäbische Jugend 1933 bis 1945 de Susanne Zeller-Hirzel

Hommage

En France, le Secrétariat général du Parti de l'In-nocence - fondé par Renaud Camus - publie le communiqué suivant, lors du décès de Suzanne Zeller-Hirzel :

« Le parti de l’In-nocence est profondément choqué par le silence qui a entouré, en Allemagne et bien sûr en France, la mort à quatre-vingt-onze ans, le 4 décembre dernier, de Mme Suzanne Zeller-Hirzel, haute et belle figure de la résistance au nazisme, et qui était la dernière représentante vivante de “Die Weiße Rose”, La Rose blanche, groupe d’étudiants munichois fondé par Hans et Sophie Scholl, exécutés par le pouvoir hitlérien le 22 février 1943. On aurait imaginé qu’une femme auréolée de pareil passé d’héroïsme et d’attachement aux valeurs humanistes et de liberté serait honorée et célébrée lors de son décès, en Allemagne et dans toute l’Europe, comme un magnifique exemple pour toutes les générations. Cependant Suzanne Zeller-Hirzel n’a pas seulement résisté au nazisme dans sa jeunesse, elle a aussi résisté, dans sa vieillesse, à l’islamisation de sa patrie et du continent. Et, apparemment, ceci efface cela : à telle enseigne, on le constate, que la mort civile et médiatique qu’on sait qui frappe dans nos pays tous les opposants à la montée de l’islam s’abat sur la mort elle-même, passée sous silence, et sur les plus pures références du combat contre la terreur et la tyrannie. » [1]

Ouvrages

  • Vom Ja zum Nein. Eine schwäbische Jugend 1933 bis 1945, Silberburg-Verlag, Tübingen, 2000. (ISBN 3-87407-368-8)
  • Violoncello-Schule, Bärenreiter-Verlag, Kassel, 1960. (ISMN 979-0-006-43927-0) [1]

Références