Friedrich Ludwig Jahn
Friedrich Ludwig Jahn, né le 11 août 1778 à Lanz dans le Brandebourg et décédé le 15 octobre 1852 à Freyburg en Saxe-Anhalt, est un pédagogue allemand, promoteur de la gymnastique et du nationalisme germanique via son organisation « Turnverein » au sein du mouvement gymnique allemand.
Sommaire
Œuvre
- Bereicherung des hochdeutschen Sprachschatzes, Leipzig, 1806.
- Deutsches Volksthum, Lübeck, 1810.
- Runenblätter, Frankfurt, 1814.
- Die Deutsche Turnkunst, Berlin, 1816.
- Neue Runenblätter, Naumburg, 1828.
- Merke zum deutschen Volksthum, Hildburghausen, 1833.
- Selbstvertheidigung, Leipzig, 1863.
Citations
« S’il ne connait pas l’histoire de sa patrie, le citoyen ne peut aimer celle-ci, s’il ne connait pas les vertus de ses ancêtres, le citoyen ne peut s’efforcer de les imiter; s’il n’a pas entendu parler des patriotes d’antan, il ne peut suivre leur exemple, bref, si le citoyen ne connait pas son histoire nationale, il n’est plus qu’un jouet aux mains de l’escroc rusé.»
Friedrich Ludwig Jahn [1]
Influencé par
- Ernest Moritz Arndt
- Johann Christoph Friedrich GutsMuths
Sources
- Jean Mabire, Les Grands Aventuriers de l'Histoire, Les éveilleurs de peuples, Fayard, Paris, 1982.
- DU BESSIN Arnvald, « Turnvater Jahn » in Magazine des amis de Jean Mabire n°62/63, 2022, p. 4 à 9.
Cité dans :
- Brigitte Hamann, La Vienne d'Hitler. Les années d'apprentissage d'un dictateur, préface de Jean Sévillia, Coll. Histoire et document, Éditions des Syrtes, 2014, 512 p.
- Didier Patte, « Jean Mabire, écrivain normand mais pas que … » in : Magazine des amis de Jean Mabire, n° 59, hiver 2021, p. 5-6.
Musée
Un musée Friedrich Ludwig Jahn se trouve à Freyburg en Saxe-Anhalt, un endroit où il a passé une partie de son existence et est décédé [2].
