Avril 26

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  • 121 : naissance de l'empereur et philosophe romain Marc-Aurèle.
  • 1573 : naissance, à Florence, au palais Pitti, de Marie de Médicis, future épouse d'Henri IV. Elle était la fille de François, grand duc de Toscane et de Jeanne archiduchesse d'Autriche.
  • 1828 : Le Sultan turc déclare la guerre à la Russie. Les Grecs se soulèvent contre l’oppresseur, dans l’espoir de voir débouler les troupes du Tsar sur les rives de l'Égée. Le 11 octobre 1828, les Russes infligent aux Turcs une cuisante défaite à Varna en Bulgarie. Le 20 août 1829, ils prennent Andrinople (Edirne). Le Sultan doit signer la paix dans cette ville, le 14 septembre 1829 : les Russes obtiennent le libre passage de leurs navires de commerce dans les Détroits ; ils contrôlent désormais les bouches du Danube. Le Traité oblige les Turcs à accorder l'autonomie aux peuples balkaniques, soit à la Serbie, à la Moldavie et à la Valachie. La Grèce reste vassale de l'Empire ottoman, en théorie, mais réussit à obtenir son indépendance, garantie par la France, la Grande-Bretagne et la Russie (protocole de Londres, 3 février 1830). Les armées russes ont permis une première libération (incomplète) des Balkans du joug étranger, extra-européen, qui pesait sur eux depuis la victoire des Ottomans au Champ des Merles (Kosovo) en 1389. Mais la Grande-Bretagne, obligée de composer en 1829-1830, voit d'un mauvais œil cette avancée russe et slave en direction de la Méditerranée orientale. Elle reconnaît le fait accompli mais travaillera désormais à la ruine de la Russie dans la région. Les victoires russes contre l’ennemi héréditaire de l'Europe jetteront les bases d'un conflit ultérieur, la Guerre de Crimée, où la Russie perdra certains des atouts gagnés lors du Traité d’Andrinople de 1829. Londres ne cessera plus de soutenir l'Empire ottoman en pleine liquéfaction.
  • 1870 : naissance à Paris, de Jean Bidegain, franc-maçon puis militant anti-franc-maçon, à l'origine de l'« affaire des fiches » (le Grand Orient fichait les officiers « cléricaux »). Il se suicide le 8 décembre 1926 à Neuilly.
  • 1937 : en Espagne, bombardement par l'aviation allemande de Guernica. Les objectifs sont trois fabriques d'armes et les 2 000 soldats républicains chargés de défendre ces sites. Exploité internationalement, le nombre de victimes figurant sur les registres d'état civil s'élève à 126 (et non les 1654 morts et les 889 blessés de la propagande rouge). Quant au tableau de Picasso qui porte le nom de Guernica, il a été rebaptisé ainsi plusieurs années après, ayant été réalisé, lors d'une série sur la minautaumania, lorsque le gouvernement espagnol lui commanda, et paya (un million de francs), une toile pour l'Exposition universelle de 1937 à Paris. Il suffit de regarder ce tableau pour constater qu'il n'illustre en rien les horreurs de la guerre mais la corrida.
  • 1945 : L'état-major américain fait droit à la requête du général Eisenhower, qui avait demandé à ne plus traiter les prisonniers allemands selon les règles des conventions de Genève. Rebaptisés "forces ennemies désarmées" (Disarmed Enemy Forces), plusieurs dizaines de milliers de prisonniers mourront de faim dans les camps où ils ont été internés.
  • 1945 : s'étant constitué prisonnier, le maréchal Philippe Pétain est interné au fort de Montrouge.
  • 1995 : Reinhold Elstner (né en 1919), chimiste, vétéran de la Wehrmacht et militant nationaliste allemand, s'immole par le feu devant

la Feldherrenhalle (lieu symbolique du « Putsch de la Brasserie ») à Munich pour protester contre les falsificatios officielles de l'histoire allemande, qu'il décrit dans un manifeste. Il décède le lendemain de ses blessures.

  • 2012 : accord de réduction de la présence militaire américaine au Japon. Les États-Unis doivent retirer d'Okinawa 9 000 Marines (19 000 y sont positionnés, sur les 47 000 soldats américains installés au Japon).