Universalisme

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L'universalisme est une croyance selon laquelle l'humanité formerait un ensemble homogène, une même famille, où la notion de peuple et celle d'identité seraient secondaires.

Une croyance égalitariste et totalitaire

Cette croyance est une propension philosophique, caractéristique du judéo-christianisme et de ses idéologies dérivées (cf. idéologies occidentales) à généraliser à la nature et au genre humain tout entier des idées ou des attributs particuliers, réels ou imaginaires, en les érigeant en "universaux" à caractère absolu (cf. réductionnisme).

En universalisant par exemple des traits culturels occidentaux ou des projets égalitaires de société, ou bien encore des notions comme la raison, le droit individuel, etc., l'universalisme, qui s'oppose au nominalisme, traduit une volonté totalitaire d'unifier, d'homogénéiser les formes de civilisation. La démocratie, la libido, le marché ou la lutte des classes, ont été par exemple érigés en universaux. Pourtant, l'épistémologie contemporaine invalide l'universalisme en mettant en lumière la vanité qui consiste à prétendre dégager de la nature physique des lois universelles - la nature est polysegmentaire - tandis que le modèle d'une société et de mœurs universalisés montre aujourd'hui l'étendue de ses conséquences négatives. L'universalisme met en danger de mort la spécificité des peuples. C'est une arme idéologique typiquement totalitaire.

Avatar de l'idéologie égalitaire, l'universalisme et un monothéisme politique, parent des totalitarismes. L'individu ne serait qu'un « citoyen du monde ». Toutes les cultures seraient destinées à fusionner et aucune inégalité de nature et de qualité n'existerait entre elles.

L'universalisme est l'arme hypocrite des impérialismes les plus divers, notamment ceux de l'islam de l'américanisme, puisqu'ils visent à imposer un modèle unique, leur modèle respectif, censé fédérer tous les peuples, mais au profit d'un seul centre de puissance et d'intérêt. L'humanité ne peut s'envisager - ce qu'elle sera toujours - que comme une juxtaposition organique de particularismes et non sous l'aspect d'un universalisme englobant et surplombant des particularités secondaires.


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