Non aux minarets en Lorraine !

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Non aux minarets en Lorraine ! est le nom adopté en Lorraine lors des Élections régionales 2010 par la liste conduite par Annick Martin constituée par le Mouvement national républicain, et soutenue par le Parti de la France et la Nouvelle droite populaire. Elle obtint 3 % des suffrages.

Composition de la liste

Meurthe-et-Moselle

Catherine Davion
Franck Boudat
Geneviève Thiry
Pascal Holzhammer
Corinne Jacquet
Marc Le Roux
Helga Kranich
Gérard Schuller
Gilberte Neveu
Daniel Rivot
Astrid Koerperich
Claude Millet
Michèle Husson
Pierre Genter
Jacqueline Bechler
Pierre Perrin
Marie-José Schuman
André Jacquet
Anne-Marie Zen
Olivier Taboulot
Andrée Peyron
Daniel Tunis
Marie Fournier
Roger Marin

Meuse

Paulette Geoffroy
Jean-Marie Peudon
Françoise Fauchard
Roger Geoffroy
Marie-Josèphe André
Lucien Rossion
Ghislaine Régnier
Michel Oudot
Jeannine Juvigny

Moselle

Annick Martin
Bernard Brion
Pierrette Gedor
Pascal Davion
Geneviève Fray
Francis Petipas
Fabienne Grosse
Jacques Petit
Nicole Anell
Arthur Matecki
Paulette Geoffroy
Christian Vergne
Jeannine Massart
Armand Weber
Marie Meyer
Jean-Louis Leboul
Véronique Muller
Jean-Marie Marcelet
Ginette Alexandre
Alain Kaczmarek
Claudine Watterlos
Pierre Soule
Florence Richon
Marcel Courtin
Josette Gerhards
Daniel Heuze
Anne-Laure Mangin
Richard Marcus
Marie-Jeanne Litzenbourger
Willy Gabriel
Huguette Duc
Jean-Marie Nicolay
Simone Pierre

Vosges

Françoise Schuller
François Ferrier
Marina Gonzalez
Jacques Aubertin
Annette Zanon
Roger Mansuy
Irène Hilt
Gilles Fevre
Blanche Bellamy
Alexandre Delacour
Paulette Pichard
Sylvain Sohn
Marie-Jeanne Demier
Pascal Pluquin
Martine Calais

Texte à l'appui

Non aux minarets en Lorraine : pourquoi ce titre ?

Pour répondre à une question précise : souhaitons-nous la transformation de notre société, fruit de la civilisation européenne, en société islamique ?

Il ne s'agit pas de se placer sur le terrain religieux, mais sur le terrain de la civilisation : c'est-à-dire sur le terrain politique.

Chacun sait qu'en France, on peut pratiquer la religion de son choix. Mais ce droit incontestable est un droit privé. Il existe en France comme dans toute l'Europe une séparation entre l'église et l'État. Ce qui se traduit communément par la phrase célèbre : « Rendons à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu. »

Le droit des musulmans à être musulman n'est donc pas remis en cause. Du reste, ils n'ont aucune difficulté à pratiquer leur culte, puisque ce culte ne comporte pas de liturgie et ne requiert aucun clergé. La demande d'édifices spéciaux, ainsi que l'exigence du respect des préconisations de la charia, ne relèvent donc pas d'une stricte pratique d'un culte, mais bien d'une entreprise islamique de transformation et de conquête de la société et du territoire français. C'est parce que l'islamisation est une entreprise politique que nous la critiquons et la combattons. L'islam n'est pas qu'une religion, c'est un système politique qui entend soumettre et régenter tous les êtres humains, musulmans ou non.

C'est une entreprise politique parce que l'islam ne reconnaît pas la séparation du temporel et du spirituel.

C'est une entreprise politique parce que nous assistons à une avancée considérable de l'impérialisme islamique en France et dans de nombreux pays d'Europe par le biais d'organisations (UOIF, frères musulmans, etc.) qui rassemblent et forment des militants islamistes. Il faut rappeler, que faute de liturgie, les imams (ou les mollahs chiites) se comportent dans les mosquées comme de véritables chefs politiques.

Les Européens qui ont critiqué, à juste titre, l'impérialisme américain, ne peuvent rester inertes devant l'entreprise impérialiste islamiste qui a pour but de nous imposer sa loi, ses coutumes et ses interdits, bafouant nos propres lois, nos propres traditions, nos propres coutumes.

S'il est bien admis aujourd'hui que les peuples ont un droit imprescriptible à disposer d'eux-mêmes, pourquoi le peuple français de tradition européenne ne pourrait-il pas bénéficier de ce droit ?

L'islamisation de notre pays est incompatible avec les lois de la république et les valeurs multiséculaires de la France.

L'islam est le parti de la soumission à Dieu. En France, les citoyens et les autres habitants doivent respecter la constitution française qui n'est pas une constitution théocratique. Cette constitution a vocation à être remaniée. Elle est le fruit de la souveraineté nationale qui appartient au peuple qui l'exerce par l'intermédiaire de ses représentants (article 3 de la constitution). Notre loi est la loi du peuple français et ne saurait être la chari'a.

Notre devise est claire : « liberté, égalité, fraternité », la liberté exclut la notion de soumission.

L'islam refuse aussi l'égalité entre les êtres humains : il fait la différence entre musulmans et non musulmans. Et surtout, il discrimine les femmes des hommes, les reléguant à un statut inférieur. Tous ceux qui connaissent bien la vie de certains quartiers communautarisés savent à quel point il est difficile pour une jeune fille ou pour une femme de résister à la pression masculine dans les familles fortement islamisées. Cette pression pouvant aller parfois jusqu'à la mise en cause de l'existence même de ces femmes. C'est pourquoi la liste « Non aux minarets en Lorraine » est menée par quatre femmes. Quatre femmes qui symbolisent la liberté des femmes européennes à prendre en main leur destin. Cette liberté que nous devons à des générations de femmes courageuses, nous n'entendons pas l'abandonner sous les coups de boutoir de l'islamisme.

Le processus d'islamisation de la France – qui va bien au-delà du simple communautarisme – traduit non seulement un refus de se plier aux traditions et lois européennes, mais exprime la volonté déclarée de changer ces lois lorsqu'elles sont contraires à la charia. Pour gagner une pseudo paix sociale dans les quartiers islamisés, nos gouvernants se comportent en « idiots utiles », renonçant à nos valeurs de civilisation et mettant en danger notre identité, et donc notre existence, sous la pression des partis islamistes. Nous ne l'acceptons pas.

La liste « Non aux minarets en Lorraine » est présente pour rappeler les principes fondamentaux qui régissent la France :

•le peuple français a le droit à disposer de lui-même,

•tout citoyen a le droit de critiquer l'islam, au même titre qu'il peut critiquer toute autre religion. Et en particulier contester la « tolérance » d'un système qui menace les pays et les individus qui le critiquent, qui détruit les œuvres d'art qui ne lui conviennent pas, qui propose la conversion ou le cercueil, qui enterre vivantes les femmes qui « regardent les hommes » et qui prévoit de nous coloniser par la poussée démographique.

En France, s'installe une discrimination inacceptable envers les femmes :

•horaires de piscines spécifiques

•exigence de médecins femmes pour soigner les femmes

•pressions familiales et sociales pour exiger le port du voile d'abord, et maintenant le port de la burqa...

En France s'installent des pratiques inacceptables :

•abolition de la consommation de porc dans de nombreuses cantines scolaires et les hôpitaux

•bêtes égorgées vivantes, sans anesthésie, sans aucune pitié pour le monde animal et souvent au mépris des règles d'hygiène en vigueur dans notre pays, pour obtenir de la viande « hallal »

•enfin, on assiste avec la complicité de nos gouvernants locaux, régionaux et nationaux à l'édification de mosquées toujours plus nombreuses et plus imposantes, comportant même des minarets. La Suède en a fait l'expérience naïve, puisqu'après la construction de minarets, c'est bien logiquement que les islamistes réclament l'appel public à la prière.

Tout cela est inacceptable et est en contradiction profonde avec l'identité de notre peuple et les valeurs de civilisation qu'il a su développer, enracinées dans le monde grec, romain et chrétien.

Il est temps de tenir le langage de la vérité et d'affirmer que, quand bien même cette civilisation serait la plus grande du monde, la civilisation islamique est incompatible avec l'identité, la culture et la civilisation européenne.

Les revendications islamistes n'ont pas à être satisfaites car elles sont contraires à ce que nous sommes. Accepter l'islamisation de la France, c'est s'exposer à la transformation de notre pays en une république islamique de France.

Voter pour la liste « Non aux minarets en Lorraine » c'est dire clairement non à l'islamisation de la France.

Communiqué de la Liste « Non aux minarets en Lorraine » du 15 mars 2010 (lendemain des élections)

Annick Martin et ses colistier(e)s remercient chaleureusement les 19.850 électeurs et électrices qui ont osé exprimer leur refus de voir la Lorraine transformée en terre musulmane.

Le combat pour notre identité lorraine, française et européenne ne fait qu'émerger sur la scène politique française. Nous le poursuivrons sans relâche et sans faillir. Nous n'accepterons pas de nous soumettre à une civilisation qui n'est pas la nôtre et qui entend nous imposer un mode de vie contraire aux valeurs françaises traditionnelles et républicaines.

Pour le second tour, il n'est pas question d'appeler à voter pour le Front national qui, selon son programme, ne s'oppose pas à la construction de nouvelles mosquées dans la mesure où elles ne seraient pas financées par les contribuables... Il s'agit de la part du FN, d'une position à très courte vue qui est inacceptable face à l'entreprise de conquête politico-religieuse de la société menée par les organisations islamiques.

Par ailleurs, compte tenu de la politique immigrationniste de la gauche et des reniements de la « droite » qui pratique la discrimination positive au détriment des Français européens, nous demandons aux électeurs qui se sont prononcés pour la liste « Non aux minarets en Lorraine » de rejoindre le grand parti des abstentionnistes pour le 2ème tour.