Ligue de défense juive

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Militants de la LDJ aux USA

Le rabbin Meir Kahane fonda la LDJ en 1968 à Brooklyn (New York) avec mission de protéger les Juifs hassidiques des harcèlements des enfants noirs et portoricains et de l'antisémitisme.

En 1972, cette milice extrémiste revendiquait plus de 15.000 membres. Quelles que fussent les "bonnes et estimables" raisons ayant conduit à la création de la LDJ, ce qu’ils étaient en réalité avait déjà commencé à s’étaler à la une des journaux partout où ils passaient.

En 1971, un membre de la LDJ avait ouvert le feu sur des représentants soviétiques à l’ONU pour protester contre le traitement (ou du moins ce qu’ils pensaient l’être) des juifs soviétiques. L’année suivante, deux autres membres de la LDJ furent arrêtés et reconnus coupables de cambriolage, possession d’explosifs et complot en vue de faire sauter les bâtiments de la délégation Soviétique à l’ONU.

En 1972, Irv Rubin fut arrêté pour une tentative de meurtre contre un prétendu chef nazi à El Monte (Californie) après que quelqu’un lui eut tiré trois fois dessus. Les charges furent ensuite abandonnées. Rubin se rendit alors en Israël et participa à la Guerre du Kippour en 1973 en servant dans la Défense passive israélienne (Israeli Civil Defense Corps).

En 1975, Meir Kahane en personne fut arrêté pour un projet d’attentat à la bombe contre l’ambassade d’Irak à Washington et un autre d’enlèvement d’un diplomate soviétique. Il échappa à une lourde peine de prison mais fut condamné à un an de réclusion, étant déjà en liberté surveillée suite à une précédente accusation pour fabrication d’engin explosif.

En 1984, Meir Kahane fit son alyah et fut rmplacé à la tête de la LDJ aux USA par Irv Rubin.

Son sa direction, la LDJ fut responsable de l’incendie volontaire de l’Institute for Historical Review le 4 juillet 1984, qui brûla pour 400.000 dollars de livres. Elle fut aussi soupçonnée de l'envoi de la bombe incendiaire qui détruiit la maison de l’historien révisionniste George Ashley, et du colis piégé qui tua Alex Odah, le porte-parole du Comité américano-arabe contre les discriminations (American Arab Anti Discrimination Committee), une organisation pro-palestinienne.

Quand le révisionniste juif David Cole produisit au début des années 90 un court-métrage sur Auschwitz, La LDJ demanda qu'on lui livre Cole mort ou vif, encourageant la violence physique contre lui et offrant une récompense pour son adresse personnelle et ses habitudes. L’intention criminelle était évidente.

En Israël, le 25 février 1994, un membre de la LDJ et du parti Kach nommé Baruch Goldstein ouvrit le feu sur des musulmans palestiniens prosternés lors de la prière au Caveau des Patriarches, la mosquée de la ville d’Hébron, massacrant de sang-froid 29 fidèles et en blessant grièvement 125 autres. La LDJ revendiqua fièrement: « Nous n’avons nullement honte de dire que Goldstein était un membre à part entière de la Ligue de défense juive ».

En décembre 2001, Irv Rubin et son adjoint Earl Krugel furent inculpés pour avoir planifié des attentats contre des biens privés et des bâtiments gouvernementaux : ils avaient été pris en flagrant délit de planification d’attentat à la bombe contre la mosquée Fahd à Culver City (Californie) et contre le bureau du député américain Darrell Issa, descendant de chrétiens libanais.

Deux jours après, en faisant une recherche Google sur mon nom, je tombe sur un site qui publie une longue liste de plus de 7.000 noms.

La Ligue de défense juive gère la Jewish SHITlist (shit signifie merde en anglais et, dans ce cas précis, est l’acronyme de self-hating and/or Israël-threatening, « Juifs se détestant et/ou menaçant Israël »).

Cette liste se veut celle de tous les Juifs dans le monde désirant inconsciemment un deuxième holocauste (« Jews for a second holocaust »), partageant une « haine de soi-même » et, par conséquent, une opposition à l’Etat d’Israël. Elle regroupe donc plus de 7.000 Juifs « honteux », dont de parfaits anonymes et des personnalités publiques (Daniel Bensaïd, Woody Allen, Schlomo Sand, Noam Chomsky, etc.).

Opinion sur la LDJ

Dans une étude de 1986 sur le terrorisme intérieur, le Ministère de l’Energie [qui veille sur les activités terroristes qui pourraient impliquer les usines nucléaires] déclara : "Depuis plus d’une décennie, la Ligue de Défense Juive (Jewish Defense League) a été l’un des groupes terroristes les plus actifs aux Etats-Unis… Depuis 1968, les opérations de la LDJ ont tué 7 personnes et blessé au moins 22. 39 % des cibles étaient liées à l’URSS , 9 % étaient Palestiniens, 8 % Libanais, 6 % Egyptiens, 4 % Français, Iraniens et Irakiens, 1 % Polonais et Allemands et 23 % sans liens avec d’autres pays. 62 % des actions de la LDJ étaient dirigées contre les biens privés, 30 % contre les entreprises, 4 % contre les universitaires et les institutions universitaires et 2 % contre des cibles religieuses" (Ministère de l’Energie, Le Terrorisme aux USA et la menace potentielle contre les installations nucléaires, R-3351-DOE, janvier 1986, pp. 11-16).

Dans son rapport sur le terrorisme de 2000-2001, le FBI qualifia l’organisation de "violente organisation juive extrémiste".L’agent du FBI Mary Doran décrivit la LDJ comme un « groupe terroriste interdit » lors d’une déposition au Congrès en 2004.

John S. Pistole, Directeur-adjoint du FBI délégué au contre-terrorisme et au contre-espionnage, décrivit la LDJ comme "une organisation juive extrémiste notoirement violente" lors d’une déposition au Congrès en 2004.

Aperçu des agressions commises depuis 2000 par la LDJ en France

Militants de la LDJ à Paris
18 décembre 2000 : saccage des locaux du MRAP
11 juin 2001 : saccage des locaux de l’association Enfants de Palestine.
19 décembre 2001 : agression de manifestants pro-palestiniens place de la Convention (Paris XVème) par une trentaine de ces nervis. 10 blessés (cf. Libération du 21 décembre 2001).
11 février 2002 : agression en marge d‘un conseil municipal, des proches de l’ancien maire (UMP) de Levallois-Perret Olivier de Chazeaux 3 plaintes sont déposées pour « violence en réunion ».
19 février 2002 : agression des participants à une conférence pro-palestinienne à la Sorbonne (Paris Vème). 1 blessé (21 jours d’ITT), 1 arrestation.
18 mars 2002 : à l’occasion du gala de l’ABSI (Association pour le Bien-Etre du Soldat Israélien) au Palais des Sports de Paris, un photographe de Libération qui portait un keffieh autour du cou est agressé.
22 mars 2002 : saccage de la librairie "Envie de Lire" à Ivry (Val de Marne), qui abritait la section parisienne de l’Association des Palestiniens de France. Plusieurs interpellations.
26 mars 2002 : remise du prix de la désinformation à l’AFP lors d’une manifestation d’une centaine de personnes à l’appel de la Ligue de Défense Juive devant le siège de l’AFP : un passant pro-palestinien est giflé.
2 avril 2002 : agression de José Bové de retour de Ramallah et de militants pro-palestiniens, à l’aéroport d’Orly. Les papiers d’identité d’un militant lui sont volés et il est menacé de mort.
Nuit du 2 au 3 avril 2002 : tentative d’incursion dans les locaux du CICP (Centre International de Culture Populaire) par un commando masqué et armé de matraques. Vitre blindée de la porte principale cassée.
4 avril 2002 : nouveau saccage des locaux de l’association Enfants de Palestine.
7 avril 2002 : violences en marge d’une manifestation appelée par le CRIF, Place de la Bastille (Paris IIIème), un commissaire de police est poignardé, 2 journalistes et plusieurs photographes sont passés à tabac, des passants maghrébins sont agressés, des manifestants de Shalom Arshav se font asperger de gaz incapacitant.
10 avril 2002 : insultes à l’encontre du candidat des Verts : Noël Mamère, alors qu’il passait dans le quartier du Marais.
15 avril 2002 : agression à coups de battes de base-ball de quatre étudiants auxquels il est reproché d’avoir déchiré des affiches sionistes, par des membres du Tagar.
22 avril 2002 : saccage d’une exposition de photos à Paris (XIXème).
14 mai 2002 : agression par des membres de la Ligue de Défense Juive de jeunes maghrébins à la sortie du concert du LIBI. 2 blessés 1 arrestation.
12 novembre 2002 : agression à la faculté de Nanterre d’un administratif d’origine maghrébine confondu avec un membre de l’AGEN (syndicat étudiants sur le campus de Nanterre) 1 blessé. 1 arrestation.
7 décembre 2002 : saccage des locaux de Radio Méditerranée.
8 janvier 2003 : agression de militants syndicaux, suite à la manifestation de l’UEJF contre la suspension par l’université de Jussieu d’un accord de coopération avec des universités Israéliennes. 3 hospitalisés, un traumatisme crânien.
30 septembre 2003 : insultes et menaces dans l’enceinte du Tribunal de Grande Instance de Paris, contre des parties civiles lors du procès du gestionnaire du site amisraëlhaï.org lequel avait invité à agresser une liste de personnes réputées juives et opposées à la politique israélienne.
7 octobre 2003 : agression par l’actuel dirigeant de la LDJ, Joseph Ayache, à coups de casque, d’un palestinien alors qu’il était interviewé, aux abords des bureaux de la Délégation Palestinienne à Paris, (XVème). L’agresseur s’est enfui en Israël. L’agression étant filmée, l’auteur des coups a été condamné à 4 mois de prison ferme par la 24ème chambre correctionnelle du Tribunal de Grande Instance de Paris. Prison qu’il n’a jamais faite bien qu’étant ensuite revenu en France.
30 décembre 2003 : agression en réunion, avec armes et préméditation de membres du syndicat étudiant : AGEN, du campus de Nanterre, devant et dans la cour du tribunal administratif de Paris, rue de Fourcy (IVème). Refus d’instruction par le Parquet pour identifier les auteurs, une arrestation et une condamnation à 8 mois de prison avec sursis, 4 blessés dont 1 très gravement (45 jours d’ITT).
5 février 2004 : jet d’acide sur les spectateurs à Lyon lors d’un spectacle de Dieudonné M'bala M'bala (6 blessés, 1 arrestation).
16 mai 2004 : agression contre Noël Mamère par la LDJ, lors d’une manifestation contre le racisme et l’antisémitisme.
10 septembre 2004 : insultes et menaces à l’encontre de Fouad Alaoui (responsable de l’UOIF) devant le siège du CRIF.
20 février 2005 : agression à 3 reprises de militants pro-palestiniens présents lors de la manifestation syndicale des fonctionnaires et enseignants. 2 blessés.
2 mars 2005 : agression de Dieudonné M'bala M'bala lors de sa tournée en Martinique par 4 membres de la LDJ. 4 arrestations.
19 février 2006 : lors d’une marche en la mémoire d’Ilan Halimi, des passants maghrébins sont passés à tabac par la LDJ, des journalistes sont molestés et une voiture est saccagée.
19 février 2006 : tentative d’incursion dans le théâtre de Dieudonné M'bala M'bala.
26 juin 2006 : tentative d’incursion dans les locaux du CICP par une vingtaine de membres de la LDJ, dont bon nombre casqués, à l’occasion d’une conférence sur la Palestine. Une personne âgée aspergée de gaz et un employé du CICP blessé.
25 octobre 2006 : agression contre Ginette Skandrani à son domicile, rouée de coups par trois membres de la LDJ.
7 décembre 2006 : attaque contre la Librairie Résistances qui recevait Tanya Reinhart, universitaire et opposante israélienne : vitrines cassées, projection de gaz lacrymogène. Deux blessés.
17 février 2008 : rassemblement à la mémoire d’Illan Halimi, bvd Voltaire. La LDJ agresse des passants maghrébins, puis une vingtaine de ses membres chargent dans la rue Voltaire en direction du CICP à l’issue du rassemblement.
15 mai 2008 : agression par environ 25 membres de la LDJ armés de casques, bvd Voltaire, de personnes sortant du CICP après une conférence en présence du journaliste Georges Malbrunot. Un technicien du CICP est gravement blessé (22 jours d’ITT).
8 janvier 2009 : agression par 7 membres de la LDJ de deux lycéens devant le Lycée Janson de Sailly (Paris 16ème) qui ont refusé des tracts, trois membres de la LDJ mis en examen.
12 avril 2009 : lynchage de deux personnes aux abord du Théâtre Aydar à PARIS, par une quarantaine de membres de la LDJ armés de chaînes et matraques, à titre de protestation contre la représentation du spectacle Nos talents pour Gaza. Instruction toujours en cours plus de 3 ans après les faits, 6 membres de la LDJ mis en examen.
22 avril 2009 : agression par une vingtaine de membres de la LDJ certains avec casques et matraques, de deux militants pro-palestiniens, boulevard Voltaire à Paris, qui se rendaient à une soirée organisée par l’association Génération Palestine. Trois membres de la LDJ interpellés. Les victimes, sur la base de déclarations mensongères de deux autres membres de la LDJ, seront ensuite placées sous contrôle judiciaire et devront attendre 3 ans pour que leur statut de victimes soit enfin reconnu par le Tribunal de Grande Instance de Paris. 2 membres de la LDJ condamnés à des peines de prison avec sursis, appel en cours.
3 juillet 2009 : 5 membres de la LDJ attaquent la Librairie Résistances, renversent et jettent de l’huile sur les livres, détruisent le matériel informatique et s’enfuient. Ils étaient suivis par les RG et seront rapidement identifiés et déférés la semaine suivante en comparution immédiate. 4 mois de prison avec sursis, alors que plusieurs des inculpés ont déjà un lourd casier judiciaire.
10 juillet 2009 : injures, agressions et menaces par les membres de la LDJ dans l’enceinte du Tribunal de Grande Instance de Paris à l’occasion de l’audience de jugement des 4 membres majeurs, de la LDJ, jugés pour l’attaque de la Librairie Résistances la semaine précédente.
21 novembre 2010 : une trentaine de voyous encagoulés et munis de casques de moto attaquent le Musée d’Art Moderne de Paris, pour tenter de détruire une exposition photographique consacrée aux massacres d’Israël de décembre 2008-janvier 2009 dans la bande de Gaza.
13 février 2011 : toujours à la fin d’un rassemblement en mémoire d’illan Halimi, une soixantaine de membres de la LDJ remonte le Bd Voltaire en direction du CICP qu’ils assiègent et sur lequel des œufs sont jetés.
15 mars 2011 : La LDJ parade dans le Tribunal de Grande Instance de Paris à l’occasion d’une confrontation dans l’affaire « bd Voltaire ». A l’issue de la confrontation, ils se jetteront à une dizaine sur une personne qu’ils identifient comme militant pro-palestinien. Classement sans suite par le Parquet, malgré l’interpellation de deux membres de la LDJ et les ITT de la victime.
3 avril 2011 : attaque du cinéma Saint Michel à Paris, qui projette le film Gaza-Strophe. Ils tentent d’enfermer le projectionniste et l’ouvreuse pour interrompre la projection du film. Ils frappent le projectionniste qui résiste, menacent de bruler le cinéma et s’enfuient après avoir signé leur présence par des autocollants de la LDJ.
1er mai 2011 : agression par des membres de la LDJ, au niveau du Bd Voltaire, de personnes portant des drapeaux palestiniens dans les cortèges syndicaux.
5 mai 2011 : la LDJ attaque à Paris une réunion organisée par un comité local parisien de l’AFPS, Association France Palestine Solidarité, dans la mairie du 14ème, en présence du maire d’arrondissement, aux cris notamment de « Palestine on t’encule ». Classement sans suite par le Parquet.
18 juin 2011 : la LDJ se rend spécialement de Paris à Marseille pour une contre-manifestation à l’occasion d’un rassemblement pour la Flotille de GAZA, affrontement avec plusieurs membres de la LDJ qui demandent à la police de faire semblant de les embarquer pour pouvoir s’enfuir.
26 juin 2011 : la LDJ attaque le CICP à l’issue d’une manifestation contre l’organisation de la Flotille pour Gaza, les participants à une soirée mexicaine qui se déroulait au CICP doivent être raccompagnés par la police jusqu’à la Nation pour ne pas être agressés – Pas d’interpellation.
23 octobre 2011 : attaque par une vingtaine de membres de la LDJ du CICP à l’occasion d’une soirée de solidarité avec une coopérative agricole Palestinienne. Le service d’ordre, puis l’intervention de la police, permettent de faire reculer les agresseurs. Pas d’interpellation.
12 mars 2012 : Jacob Cohen, écrivain de 68 ans, est agressé dans un café du Bd Saint Germain à Paris, alors qu’il dédicace son dernier livre. Jet d’œufs, de farine, crachats et injures. Menaces contre les témoins qui tentent de s’interposer. Agression filmée, mise en ligne et revendiquée par la LDJ.
28 juin 2012 : agression d’Olivia Zémor alors assise à la terrasse d’un café à la Bastille, elle reçoit sur la tête, le visage et le corps de la peinture à l’huile qui a nécessité un transport aux urgences de l’Hôtel Dieu par les pompiers, étant donné la toxicité du produit. La LDJ revendiquera l’agression et publiera une vidéo de l’acte. La police indique avoir rapidement identifié les agresseurs, mais personne n’est interpellé à ce jour.
5 juillet 2012 : Jacob Cohen, se rend au métro Saint-Paul à Paris pour un rendez-vous avec la presse. Une jeune femme l’attend, le conduit dans une ruelle au motif d’aller à la rencontre d’un journaliste. Trois hommes surgissent, bombardent l’écrivain de peinture à l’huile rouge et de farine. La scène filmée est mise en ligne sur le site de la Ligue de Défense Juive (LDJ), titrée : La LDJ rend visite au kapo Jacob Cohen.
6 septembre 2012 : plusieurs membres de la LDJ lancent des œufs contre la façade de l’Institut du Monde Arabe à Paris, où était projeté en avant-première le film Coucheriez-vous avec un Arabe ? Ils publieront la vidéo de l’acte le lendemain.
13 septembre 2012 : la voiture de Jonathan Moadab journaliste indépendant du Cercle des Volontaires, a reçu un engin incendiaire à Saint-Rémy-lès-Chevreuse. Trois membres de la LDJ sont mis en examen – l’instruction est en cours au Tribunal de Grande Instance de Versailles.
24 octobre 2012 : Houria Bouteldja, militante du Parti des indigènes de la république est agressée par jet de peinture lors d’un guet-apens, un membre de la LDJ se faisant passer pour un journaliste. L’agression sera publiquement revendiquée par la LDJ.