Liberté

De Metapedia
Aller à : navigation, rechercher

La liberté est une faculté d'augmenter son pouvoir, de multiplier ses capacités d'action sur le réel et de conquérir par là une autonomie sur les déterminismes, qu'ils soient génétiques ou sociaux.

Cette définition s'oppose à la conception individualiste et égalitaire de la liberté, qui la considère comme une licence passive, comme une absence de contrainte. Cette dernière conception de la liberté est en fait à l'exact opposé de la nôtre. Pour se libérer des déterminismes, l'homme a besoin au contraire de la discipline d'une culture, c'est-à-dire de l'exercice d'une contrainte, à commencer par celle qu'il exerce sur lui-même par sa volonté. La conception libérale de la liberté est régressive : elle produit l'homme domestiqué, involué que nous connaissons, qui abdique son autonomie au profit d'un système social paternaliste. La liberté n'est donc nullement un "droit" comme le voudrait la philosophie des droits de l'homme; elle est aussi une conquête. De ce fait, la "Liberté" comme absolu est un concept totalitaire qui ne recouvre pas de réalité. La liberté est plurielle (par exemple, parlons des libertés politiques, comme étant de droits conquis, garantis par la force, et ayant des contreparties). Génétiquement, l'homme naît dans un état de grande dépendance, mais sa déprogrammation, son ouverture au monde, en font un être virtuellement "libérable" ou virtuellement plus esclave encore qu'un animal. Plus est grande la liberté - c'est-à-dire l'éventail d'actes faisables par un homme à la suite de l'apprentissage culturel discipliné - plus importante est la contrainte subie. La liberté passe d'abord par la maîtrise de soi. Elle est donc, aussi bien en ce qui concerne les individus qu'en ce qui concerne les peuples, le privilège des forts. "La liberté, c'est la puissance" disait Hobbes.

Liberté et libertés

La liberté désigne la capacité d'agir selon sa volonté propre pour une individu comme pour un peuple, dont la garantie est la discipline, et dont le fondement est la multiplication des capacités et de l'autonomie.

'Lhomme libre a depuis longtemps été le modèle des sociétés européennes, par opposition au barbare et à l'esclave, selon les penseurs grecs. Aujourd’hui, le concept de liberté subit un véritable retournement de sens, comme le terne de démocratie. La liberté d'aujourd’hui signifie ce qu'on nommait jadis esclavage, puisqu'elle est confondue avec le laxisme qui mène à l'asservissement.

En effet, la véritable liberté est la faculté d'augmenter son pouvoir, de multiplier ses capacités d'action sur le réel et de conquérir par là une autonomie sur les déterminismes. Cette définition s'oppose à la conception individualiste et égalitaire de la liberté, qui la considère comme une licence passive, comme une absence de contrainte. L'esclavage devant le prêt-à-penser de l’idéologie dominante, devant les intraveineuses médiatiques, constitue le contenu concret de cette fausse liberté, qui interdit au peuple et à ses défenseurs d'exprimer leurs convictions et leurs souhaits: la police de la pensée, la xénophilie obligatoire, l’interdiction de toute démocratie directe et le pouvoir des juges sont là pour en témoigner.

Dès lors qu'elle est posée, depuis la Révolution française, comme un concept global et abstrait , la Liberté s'oppose aux libertés. Elle s'avère, si elle est prise comme un absolu, un concept froid et totalitaire. La société occidentale ne défend pas plus la liberté que la société communiste, mais oblige à un conformisme général, où le laxisme envers les déviances fait bon ménage avec la répression des rebellions légitimes.

L'exercice des libertés suppose la discipline et l'ordre, l'autorité et la règle de justice. Le laisser-faire des systèmes éducatifs actuels, en laissant en friche les jeunes cerveaux, en feront de futurs barbares et de futurs esclaves. L'homme libre est d'abord celui qui est maître de lui-même, qui grâce à la discipline, a augmenté l'éventail de ses possibilités.

Un peuple libre est celui qui décide de son destin à long terme. Aujourd'hui, par exemple, la colonisation de peuplement des peuples européens par le Sud et l'islam est le symbole de la confiscation de leurs libertés. Il en va de même de la soumission de l'Europe à l'américanosphère, de menaces qui pèsent sur son indépendance politique et économique. La liberté individuelle, elle aussi, est rongée par la démission des pouvoirs publics devant ce qu'il faut bien appeler la jungle sociale : laxisme envers les délinquances, indifférence envers les exclusion socio-économiques dont souffrent les Européens de souche, etc. Dans tous les domaines, le dogme singulier de la Liberté nuit aux libertés plurielles du peuple. On pourrait paraphraser aujourd'hui la formule de Big Brother : « La liberté, c'est l'esclavage ». Et vice-versa.

Nous vivions une situation étrange et paradoxale, une situation de fin de règne : la puissance publique ne cesse de réglementer, de surveiller, d'opprimer, de fiscaliser, d'ostraciser avec douceur et habileté ceux qui créent et qui travaillent, et s'emploie à dispenser tolérance et avantages aux déviants, aux irréguliers, aux nuisibles. Tout ce qui est « autre » a tous les droits et aucun devoir, pour l'idéologie dominante. Tout ce qui est autochtone et qui suit la loi naturelle, donc l'identité et la préservation du peuple, n'a que des devoirs et doit subir la loi des suspects. Le système vise à rendre esclave l'homme libre et à rendre libre l'ilote. L'Empire romain en est mort.

Du fait de la démission de la puissance publique face aux délinquances de tous ordres, les libertés publiques reculent pour les authentiques citoyens, qui perdent leurs droits à la sécurité quotidienne et qui sont victimes de l’arbitraire fiscal comme de la tyrannie réglementaire. Pour se légitimer, l'Etat invente alors des simulacres de libertés nouvelles (Pacs, quotas raciaux, nouveaux « droits » sans objet précis, lois féministes, lois homophiles et xénophiles, etc.) alors que, dans la réalité, il se montre toujours plus réglementaire, contraignant, fiscaliste, surveillant, décourageant les initiatives, indifférent envers les exclusions et l'effondrement de la sûreté publique et de l'esprit citoyen.

Globalement, tout ce qui est déviant et délinquant est l'objet d'une tolérance bienveillante, tout ce qui est créatif, inventif, productif et identitaire est soupçonné et réprimé.

La liberté de pensée n'est pas assurée, puisque le politiquement correct, dont le dogme central est l'antiracisme et l'interdiction des réflexes identitaires, s'impose dans toute la sphère sociale. Cette liberté de pensée et d’expression n'est accordée que dans des domaines secondaires, marginaux ou déviants, notamment en matière sexuelle.

Mais tous ces faits sont normaux et ont toujours eu lieu dans l'histoire. A quelle conception de la liberté et des libertés faut-il donc s'attacher? La première règle est celle de la liberté ethnique du peuple à déterminer son propre destin. La volonté libre du peuple doit passer par-dessus celle des juges, des censeurs, des experts. Les principes moraux désincarnés et abstraits ne s'imposent pas à la volonté populaire, c'est la volonté populaire qui doit déterminer des principes concrets.

La seconde règle est que la fonction souveraine, la puissance publique, doivent garantir l'ordre social et la discipline civique, afin de préserver les libertés individuelles et communautaires. Il n'est pas de libertés sans un ordre légal conforme à la loi naturelle; il n'est donc pas de libertés sans autorité.

Articles connexes