Le Cadeau du Führer

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Le « Cadeau du Führer aux jeunes mariés» faisait partie d’un vaste effort social.

Les Francs avaient une charmante coutume, la Morganegiba (ou Morgengebe en allemand moderne) le « cadeau du matin » : le matin suivant la nuit de noce, le marié devait faire un cadeau à son épouse – un bijou, une étoffe précieuse, ou même un bien plus important (comme des terres) si le marié était quelqu’un de riche.

A l’avènement du Troisième Reich, Adolf Hitler instaura le Cadeau du Führer aux jeunes mariés :

« Dès 1933, les jeunes mariés reçoivent un chéquier comportant quatre chèques. Ce prêt d’Etat, 1.000 RM [Reichsmarks], est une véritable fortune, comparé au salaire moyen d’un ouvrier (100 RM par mois). Le premier chèque est destiné aux meubles et aux instruments du ménage, le second, au premier enfant. Quand la femme a donné le jour à son quatrième bébé, la dette est remboursée. »

(« Hitler au pouvoir », série d’articles par Jean Cau dans Paris-Match, janvier 1983)

« De généreux prêts, amortissables en dix ans, étaient accordés aux couples de jeunes mariés pour qu’ils puissent acheter leur propre maison. A la naissance de chaque enfant, un quart de la dette était annulé. Quatre enfants, au rythme normal d’une nouvelle arrivée tous les deux ans et demi, suffisaient pour annuler toute la dette.

Une fois, pendant une conversation avec Hitler, j’exprimai mon étonnement devant cette politique : ‘Mais alors, vous ne récupérez jamais la quantité totale de vos prêts ?’, demandai-je. ‘Comment cela ?’, répondit-il en souriant. ‘Sur une période de dix ans, une famille de quatre enfants rapporte bien plus que nos prêts, à travers les taxes perçues sur une centaine de divers articles de consommation’.

De fait, le revenu des taxes s’accrut chaque année, en proportion de la croissance des coûts des programmes sociaux d’Hitler. En seulement quelques années, le revenu des taxes tripla. L’Allemagne de Hitler ne connut jamais de crise financière.

Pour stimuler l’économie moribonde, il fallait le cran, que Hitler avait, d’investir l’argent que le gouvernement n’avait pas encore, au lieu d’attendre passivement – en accord avec les principes financiers ‘sains’ – que l’économie revive par elle-même. »

(Extrait d’un article de Léon Degrelle, 1992)

« Un prêt de 1.000 RM (8 mois de salaire ouvrier moyen) est accordé aux jeunes couples disposant d’un seul salaire, chaque naissance effaçant le quart de la dette (1,8 de prêts seront ainsi accordés de 1933 à 1941, in Reichel, 1993). Les jeunes parents jouissent d’une priorité d’accès au logement en milieu urbain. »

(Bernard Plouvier, Hitler, une biographie médicale et politique, t. 3, 2008)

Ce « Cadeau du Führer aux jeunes mariés» faisait partie d’un vaste effort social : parallèlement, le 1er juin 1933, fut lancé un plan d’une ampleur sans précédent, visant à la construction d’une première tranche de 200.000 maisons ouvrières. Un auteur français écrivit :

« …les cités ouvrières jaillissant de toutes parts, et quelles cités ! des dizaines de milliers de petits pavillons individuels nichés parmi la verdure – tout cela représente un effort gigantesque »

(Jacques Benoist-Méchin, A l’épreuve du temps, tome 1, 1989).